Sans vérification je peux affirmer que l’occurrence Hugues Aufray apparaît pour le première fois sur le site du Belial

Les accessoires tout comme les vêtements et les architectures participent du wolrdbuilding d'une histoire afin d'en assurer une certaine crédibilité... Il y a une tendance dans le design qui questionne notre rapport au futur: le design fiction . Il y a pléthore de sites et d'articles sur le net; que...

L'ambassadeur des ombres (qui a servi de trame au médiocre film de Besson) et Sur les terres truquées sont deux chef d'oeuvres qui marquent un tournant dans la série avec en apogée le diptyque mentionné ici. La série Valérian dans ses différents albums brasse sur la longueur tous les genres et les ...

Grand bonhomme...
Les phalanges de l'ordre noir avec Bilal, Les terres truquées et le diptyque Métro Chatelet direction Cassiopée/Brooklyn station terminus cosmos lus adolescent m'ont fait comprendre que la bd n'était pas qu'un loisir pour ado.

Lors de sa projection à Cannes, un effet très particulier avait surpris le public... A un moment un spectateur (en fait un acteur) interpelle Adam Driver qui lui répond (dans le film). Coppola avait annoncé qu'il voulait voir cette séquence reproduite dans les salles où serait projeté le film. Vu qu...

Cinglant.
Avec le lien pour mieux goûter à la chose: https://unodieuxconnard.com/2024/08/28/alien-hurluberlus/

c'est une catastrophe. Plus un mauvais slasher ado dans l'espace, qu'un hommage ou une suite au premier film de la franchise; il paraît qu'il y a plein de références aux opus précédents pour les fans mais les scénaristes ont oublié d'écrire une histoire à laquelle on arrive à s'intéresser. Les ados ...

A préciser que le film raconte une histoire vraie celle du reportage photo autour du désastre d'un accident industriel au Japon. Le livre Minimata publié en 1975 est considéré comme un parangon absolu du photojournalisme. Eugène Smith est une légende du photojournalimse à l'instar de R. Capa ou plus...

Je suis allé voir le film avec mon fils. Deux trois trucs m'ont fait marrer. Wolverine (qui s'appelait Serval quand j'étais enfant) a enfin son vrai costume. Sinon, c'est poussif à crever. Et j'ai été estomaqué par le prix des places de cinéma (plus de 30 balles, avec un tarif étudiant dans le lot)...

Sinon, l'info qui ne sert à rien, mais Nicolas Fructus est un des artistes virtuellement suspendu (par ses tentacules ?) dans le musée anti-art-concontemporain de Nicole Esterolle . Se méfier des relations et des faux amis... Nicole esterolle (que certains soupçonnent d'être en réalité l'artiste ra...