The Batman, Matt Reeves

[Razheem L'insensé]

Deux années à arpenter les rues en tant que Batman et à insuffler la peur chez les criminels ont mené Bruce Wayne au coeur des ténèbres de Gotham City. Avec seulement quelques alliés de confiance - Alfred Pennyworth, le lieutenant James Gordon - parmi le réseau corrompu de fonctionnaires et de personnalités de la ville, le justicier solitaire s'est imposé comme la seule incarnation de la vengeance parmi ses concitoyens. Lorsqu'un tueur s'en prend à l'élite de Gotham par une série de machinations sadiques, une piste d'indices cryptiques envoie le plus grand détective du monde sur une enquête dans la pègre...

Un énième film Batman ? Pas sûr puisque Matt Reeves explore une facette encore très peu exploitée du super-héros/vigilante au cinéma...et ça fait un bien fou à la franchise !

[Thomas_at_constellations]

Mon avis "en retard" (j'étais malade comme un chien donc j'ai oublier de poster): The Batman – Matt Reeves
Matt Reeves nous livre selon moi un très bon Batman, très cohérent, qui est tout simplement mon préféré (je n’ai pas dit « meilleur ») par son traitement du personnage et de son univers. Pour la première fois depuis longtemps, nous avons un film de super héros qui est avant tout une vraie proposition de cinéma plutôt qu’une proposition marketing indigeste, prévisible et usée jusqu’à la moelle. Vivement les suites.

[Joachim-28]

Vu hier soir,
Très long métrage qui montre que les films de super-héros peuvent être très riches sur le plan social ; le vilain, l'Homme-mystère, incarne le côté psychopathe de la plèbe, qui ne croit plus les promesses des politiciens faites aux citoyens. Il décide d'en prendre son parti, et de se faire justice soi-même. Mais dès lors, qu'est-ce qui le différencie du Batman ?

La véritable pépite de ce long métrage, c'est la ville de Gotham, dans une pose où son esthétisme suit l'intrigue : pluvieuse et sombre au début, au fur et à mesure que l'intrigue dénoue ses fils, il fait de plus en plus jour, jusqu'à la fin, où, en haut de l'immeuble policier, c'est l'aube qui pointe, comme pour nous dire qu'une page de Gotham s'est tournée, et qu'une nouvelle ère arrive.

Les personnages secondaires sont bien travaillés, on apprécie la femme féline, dans son combat, forte et qui se veut indépendante. Mention spéciale à l'homme Pingouin, mafieux à souhait, au aurait aimé qu'il soit plus développé.

Une autre critique se glisse également dans le film : celle des réseaux sociaux, qui agrègent des communautés de psychopathes, les followers, ainsi que des dangers encourus à se prendre pour un héros de la toile.

[Thomas_at_constellations]

Mention spéciale à l'homme Pingouin, mafieux à souhait, au aurait aimé qu'il soit plus développé.

A priori, le Pingouin a une série en développement.