[Série] Love, Death + Robots

[FeydRautha]

Jibaro : je ne sais pas trop quoi en penser.

Je l'ai trouvé insupportable à regarder et à écouter.

[Pierre-Paul Durastanti]

Je l'ai trouvé insupportable à regarder et à écouter.

Qui êtes-vous, et qu'avez-vous fait de Feyd Rautha ?

[T. D. R.]

Mauvais voyage : je ne vois pas trop où sont l’amour et les robots dans cette histoire [...]

Fait du prince. L'épisode a été réalisé par Fincher en personne.

[LD]

Jibaro : je ne sais pas trop quoi en penser.

Je l'ai trouvé insupportable à regarder et à écouter.

J’ai adoré Jibaro et d’un point de vue visuel et d’un point de vue sonore (sans avoir consommé la moindre substance psychotrope auparavant). Sur ces deux aspects, ma plus grosse claque sur les 3 saisons. L’histoire me parle aussi, mais rien de fou fou, d’autres épisodes m’ont plus touché (l’Essaim, les Rats de Meson, Bonne Chasse, etc.). Je le prends plus comme une expérience visuelle et auditive, ce qui explique aussi peut-être pourquoi ça ne touche pas tout le monde de la même manière.

J’ai enchaîné les 35 épisodes en une dizaine de jours. Il y a quand même pas mal d’épisodes avec un fond militaire, mais sans jamais en faire l’apologie.

Une série vraiment formidable ! Et je ne me risquerai pas à faire un classement :-)

[Thomas_at_constellations]

J'ai vu Love, Death and Robots Volume 3 de Netflix​. C'est mieux que le volume 2. Les épisodes « Bad Travelling », « The Very Pulse of the Machine », « In Vaulted Halls Entombed » et « Jibaro » sont de franches réussites et justifie à eux seuls le visionnage de ce volume.

[lonesome]

Vu.
Globalement d'accord avec tout le monde sur les épisodes qui sortent du lot (en même temps il y en a moins que les saisons précédentes, fruit sans doute d'une sélection plus drastique).
Jibaro se démarque clairement et peut faire penser par son ambition à du Werner Herzog ou un Iñárritu sous acide.
L'animation est bluffante (même si j'ai de gros doutes quand le réalisateur dit ne pas avoir utilisé de capture motion pour les mouvements) avec un petit bémol quand même; à par la prouesse technique on peut se poser la question de l'intérêt d'une animation qui colle tellement à de la prise de vue réelle qu'elle peut troubler (ce débat s'inscrit pleinement dans les interrogations philosophiques du multivers et de la perte de réalité qu'il induit).
L'essaim souffre d'une fin trop abrupte qui en réduit je trouve la qualité.
The very pulse of the machine, m'a laissé de marbre, pas du tout accroché au trip visuel, c'est tout.
Hâte de voir la prochaine saison.