Indiana Jones et le cadrant de la destinée, James Mangold (2022)

[Thomas Day]

La fiche Imdb

(J'aurais cru qu'il y avait un fil, mais non, ou alors je ne l'ai pas trouvé, ce qui est tout à fait possible).

Le Professeur Jones est de retour pour retrouver le cadrant de la destiné qu'aurait construit Archimède.
Son antagoniste est un nazi du nom de Voller (interprété par Mads Mikkelsen, qui a les meilleurs répliques du film).

Bon, comment dire. Les vingt premières minutes, à la fin de la Seconde guerre mondiale, où Indiana Jones saute dans tous les sens, utilise tous les moyens de transport nazis à sa disposition. C'est certes le triomphe des effets spéciaux contemporains, mais super, on se croirait de retour chez Steven Spielberg.
Et après, c'est the downward spiral. Plus le film avance, plus il devient mauvais, trop long, perclus de fan service pataud et donc globalement risible.
Je n'ai rien compris aux motivations du personnage incarné par Phoebe Waller-Bridge. J'ai cru que c'était la fille cachée d'Indiana Jones avec Marion Ravenwood, mais même pas.
La fin m'a tué.
Mais bon, depuis j'ai ressuscité.
En ce qui me concerne cette série s'arrête au 3. J'attends qu'un man in black compatissant efface de ma mémoire les deux suivants. Elle est où la petite lumière rouge à fixer du regard ?

[Apophis]

J'attends qu'un man in black compatissant efface de ma mémoire les deux suivants. Elle est où la petite lumière rouge à fixer du regard ?

[Thomas Day]

Merci.

[Pyjam]

Toujours bien meilleur que le 2 qui n’est même pas regardable.

[Joachim-28]

Que dire de l’enfant dans le film, qui, sans explication aucune, sait piloter un avion comme un dieu, en pleine tempête ?
Que dire de la fin ? Vu que le portail temporel se trouve loin dans les cieux, au dessus des nuages, ils sont arrivés tant bien que mal à atterrir ; mais ma question : comment font-ils pour repartir dans le trou temporel, sans piste de décollage ? Le film fait gentiment l’impasse sur ce trou scénaristique et nous montre Indi chez lui, sans nous dire comment il a magiquement fait pour retourner dans le ciel (le portail temporel)

[Weirdaholic]

Que dire de l’enfant dans le film, qui, sans explication aucune, sait piloter un avion comme un dieu, en pleine tempête ?

Ah, ces gosses nourris de jeux vidéo, ils savent absolument tout conduire ! ^_^ Zut, le film est censé se passer en 1969...

[Twin]

Zut, moi qui comptais le regarder cerveau éteint avec un peu de pop-corn, même pour ça il a l'air trop mauvais.

[Weirdaholic]

Que dire de l’enfant dans le film, qui, sans explication aucune, sait piloter un avion comme un dieu, en pleine tempête ?

Ah, ces gosses nourris de jeux vidéo, ils savent absolument tout conduire ! ^_^ Zut, le film est censé se passer en 1969...

Il y a ne scène semblable dans le tome 2 du manga Asadora de Naoki Urasawa, qui se passe en 1959... mais la gamine en question est dans un vieux coucou avec un pilote expérimenté, qui lui dit quoi faire quand sa blessure l'empêche de piloter - et puis de toute façon, c'est Naoki Urasawa, avec lui tout passe. ^_^

[Soleilvert]

A Tanger, on voit une 403 Peugeot. Décidemment cette voiture a fait date dans l'histoire du cinéma et des séries américaines.

[JDB]

A Tanger, on voit une 403 Peugeot. Décidemment cette voiture a fait date dans l'histoire du cinéma et des séries américaines.

Clin d'oeil sans doute volontaire: une des premières réalisations de Spielberg était le tout premier épisode de Columbo, avec Steven Bochco au scénario. Et dans un épisode ultérieur (où l'assassin se sert de Robbie le Robot pour se forger un alibi!), on voit apparaître un gamin surdoué nommé Steven Spielberg. Là encore, Steven Bochco au scénario.
JDB