Dans l'un ou l'autre des romans de sa trilogie des Fourmis, je me souviens que Bernard Werber évoquait cette sympathique symbiose entre l'acacia et les fourmis. Le premier fournissant le logis aux secondes en échange de leur aide contre les bouffeurs de feuille de tout acabit.
Sur son blog, Pierre Barthélémy nous apprend que la réalité est bien moins sympathique (pour autant qu'on puisse émettre un jugement de valeur sur l'activité d'une plante).
Des fourmis et des arbres
Re: Des fourmis et des arbres
Il me semble que les fourmis ne sont pas des "tendres" non plus, avec les pucerons, voir avec leur propres congénères, avec la fourmi amazone si je me souviens bien, qui ne peut survivre qu'en réduisant d'autres espèces en esclavage.
La nature, c'est l'enfer.
La nature, c'est l'enfer.
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Olivier Girard
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Re: Des fourmis et des arbres
C'est clair ; y a qu'à regarder les hommes...Kévin Crépin a écrit :La nature, c'est l'enfer.
