Le résumé de l'éditeur :
Raptor nous donne à voir tour à tour deux mondes et deux âmes en proie au conflit. Sokól erre dans un paysage féodal et fantastique, chassant les monstres pour le compte de ceux qui peuvent s’offrir ses services, tandis qu’Arthur, un auteur de contes fantastiques, qui pleure la mort de sa jeune épouse dans le Pays de Galles du XIXe siècle, s’en remet au surnaturel dans le vain espoir de la revoir. Tous deux vivent dans le crépuscule entre la vérité et le mensonge, la vie et la mort, la réalité et l’imaginaire.
Véritable prouesse visuelle, Raptor entraîne le lecteur dans deux mondes à priori distincts, mais qui se font écho dans une même trame narrative.
Mon avis :
Ce que le résumé ne dit pas, c'est que, dans la continuité de Black Dog, où il retraçait la vie de Paul Nash, Dave McKean s'inspire clairement d'un épisode de la vie d'Arthur Machen, pour nous livrer une (géniale) bande dessinée onirique sur la quête de soi (pour le dire vite).