Un article sur A l'est du Cygne paru dans le Nouvel obs :
A l'Est du Cygne, de Michel Demuth (novembre 2010)
- marc
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Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
Et voilà pour Phénix Mag : http://www.phenixweb.net/
Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
Fini la bête !
Ce recueil a une tonalité bien sombre.
L'auteur semblait bien désenchanté pour nous dépeindre ainsi ces lendemains qui déchantent.
Déçu par les 1ers textes qui apparaissent vieillots (un demi-siècle bien sonné tout de même à leur décharge) et pire à mon sens, commettent le crime d'exposer une excellente idée sans l'exploiter ni la développer, la réduisant au rôle de simple marchepied pour l'action pure. Au final, on a surtout des récits d'aventure dans l'espace. La lecture la plus frustrante étant pour moi Intervention sur Halme qui se révèle n'être qu'une histoire de barbouzes à l'echelle galactique...
Les textes suivants (À l’est du Cygne, La Bataille d’Ophiuchus, Les Jardins de Ménastrée et surtout peut-être Lune de feu) nettement plus intéressants ont une dimension tragique qui les rend plus profonds, plus poignants, leur donne un supplément d'âme en quelque sorte.
Les derniers textes, plus récents, sont davantage intimistes, contemplatifs et mélancoliques (à la Ballard ?) et répètent souvent le même motif, le même schéma (faute / exil / expiation) dans une sorte de réalité fantasmée et cotoneuse d'acceptation résignée.
Au final, 17 nouvelles réparties sur une 40aine d'années, à l'évolution telle qu'il est parfois difficile d'admettre qu'il s'agit bien du même auteur. De quoi toucher un panel de lecteurs aux aspirations bien différentes.
P.S : vive le paratexte dans les bouquins du Bélial' !
Ce recueil a une tonalité bien sombre.
L'auteur semblait bien désenchanté pour nous dépeindre ainsi ces lendemains qui déchantent.
Déçu par les 1ers textes qui apparaissent vieillots (un demi-siècle bien sonné tout de même à leur décharge) et pire à mon sens, commettent le crime d'exposer une excellente idée sans l'exploiter ni la développer, la réduisant au rôle de simple marchepied pour l'action pure. Au final, on a surtout des récits d'aventure dans l'espace. La lecture la plus frustrante étant pour moi Intervention sur Halme qui se révèle n'être qu'une histoire de barbouzes à l'echelle galactique...
Les textes suivants (À l’est du Cygne, La Bataille d’Ophiuchus, Les Jardins de Ménastrée et surtout peut-être Lune de feu) nettement plus intéressants ont une dimension tragique qui les rend plus profonds, plus poignants, leur donne un supplément d'âme en quelque sorte.
Les derniers textes, plus récents, sont davantage intimistes, contemplatifs et mélancoliques (à la Ballard ?) et répètent souvent le même motif, le même schéma (faute / exil / expiation) dans une sorte de réalité fantasmée et cotoneuse d'acceptation résignée.
Au final, 17 nouvelles réparties sur une 40aine d'années, à l'évolution telle qu'il est parfois difficile d'admettre qu'il s'agit bien du même auteur. De quoi toucher un panel de lecteurs aux aspirations bien différentes.
P.S : vive le paratexte dans les bouquins du Bélial' !
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Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
Je découvre à l'instant que A l'est du Cygne est le "livre du mois" dans L'Ecran fantastique de février.
Un extrait de la fin du papier : "Une belle somme donc, recueillie au sein d'un magnifique ouvrage, qui contient aussi un long entretien et une biblio exhaustive. La qualité supérieure, qu'on doit au meilleur éditeur de SF sur le marché..."
Bon. En tant que "razzieur" invétéré, je ne peux m'empêcher de souligner qu'Andrevon étant publié au Bélial', le "meilleur éditeur de SF sur le marché" prend donc ici une dimension assez savoureuse. Ceci étant, le même Andrevon était nominé aux derniers Razzies. Ce qui prouve que tous les nominés ne sont pas rancuniers...
Un extrait de la fin du papier : "Une belle somme donc, recueillie au sein d'un magnifique ouvrage, qui contient aussi un long entretien et une biblio exhaustive. La qualité supérieure, qu'on doit au meilleur éditeur de SF sur le marché..."
Bon. En tant que "razzieur" invétéré, je ne peux m'empêcher de souligner qu'Andrevon étant publié au Bélial', le "meilleur éditeur de SF sur le marché" prend donc ici une dimension assez savoureuse. Ceci étant, le même Andrevon était nominé aux derniers Razzies. Ce qui prouve que tous les nominés ne sont pas rancuniers...
Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
Mais tu sais bien que le papier a été rendu avant les razzies (normal pour un mensuel). Tu vas voir ce que tu vas prendre le mois prochain ! Eh, eh, eh !!!
Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
Par le soin apporté à sa réalisation, À l’est du Cygne évoque les historiques "Livre d’or de la science-fiction". Mais ne nous voilons pas la face, l’amateur attend surtout de pied ferme une édition augmentée des Galaxiales, à laquelle travaillait d’ailleurs Michel Demuth. Le présent volume a cependant le mérite d’évoquer tout un pan de l’histoire de la SF française. Bel hommage pour un homme attachant.
C'est l'avis du Cafard cosmique, à lire en détail ici :
http://www.cafardcosmique.com/A-l-est-d ... hel-Demuth
- Thomas Day
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Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
[url]Michel Demuth était l'homme qui a traduit Dune en français. C'était aussi un auteur de SF dont A l'Est du Cygne est une nouvelle éponyme d'un recueil. Je possède une édition numérique de cette nouvelle dont voici la chronique.[/url]
A lire sur :
http://grandebibliotheque.blogspot.com/ ... cygne.html
A lire sur :
http://grandebibliotheque.blogspot.com/ ... cygne.html
Re: A l'Est du Cygne, de Michel Demuth
A la lecture du très "AAA Ace-like" La Route de Driegho, je me demandais si Michel Demuth avait relaté d'autres (més)aventures d'Azio et Richard.
Si quelqu'un sait...
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