Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
Re: Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
Erwann a écrit :L'avis de Marie-Juliet.
Tu as été plus rapide que moi, mon Erwann (ou plus matutinal, au choix) ;-)
La première partie m'a énormément plu, la seconde m'a plus fait réfléchir. Le tout fait un très bon combo.
C'est en tout cas ainsi que j'ai voulu l'écrire. Qu'elle en soit ici chaudement remerciée.
Re: Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
Drift vu par Bendi. Le terme de chef-d’œuvre est bien sûr inapproprié, mais c'est très touchant quand même.
“Tout notre raisonnement se réduit à céder au sentiment.” B. Pascal.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
“The light that burns twice as bright burns half as long, and you have burned so very, very brightly, Roy.” Blade Runner.
Re: Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
Et là à moyen terme toujours pas de passage au numérique pour Drift !!!Olivier Girard a écrit :Oui, il me semble. Thierry Di Rollo refuse toujours l'exploitation en numérique de ses œuvres, en tout cas à court terme.Twin a écrit :Bonjour,
un édition numérique est-elle toujours exclue ?
(je fais partie des lecteurs qui ont complètement abandonné le papier pour des raisons pratiques)
Re: Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
A moyen terme + 1 an toujours dans la même optique ? Surtout que Thierry est à l'honneur cette année au Bélial. ;-)yogo a écrit :Et là à moyen terme toujours pas de passage au numérique pour Drift !!!Olivier Girard a écrit :Oui, il me semble. Thierry Di Rollo refuse toujours l'exploitation en numérique de ses œuvres, en tout cas à court terme.Twin a écrit :Bonjour,
un édition numérique est-elle toujours exclue ?
(je fais partie des lecteurs qui ont complètement abandonné le papier pour des raisons pratiques)
Re: Drift, de Thierry Di Rollo (mai 2014)
Mélange de dystopie et de space opera, au sens très large du terme, Drift permet donc à Thierry Di Rollo d’élargir le champ de son inspiration, tout en restant fidèle à ses thématiques habituelles. Âpre mais traversé de moments d’empathie, le voyage de Darker résonne comme The Long and Winding Road des Beatles. Une complainte empreinte de nostalgie et d’abandon.
L'avis d'Ubik.
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