Eriophora, Peter Watts (septembre 2020)

[M]

Terminé ce week end. Merci à Twin qui m'a permis de vérifier le message caché.

La claque n'est pas aussi grande que Diaspora. Mais c'est une bonne grosse baffe quand même. Décidément Watts est vraiment très fort. Vivement d'autres nouvelles dans cet univers.

[Aymeric_C]

Je l'ai lu avec beaucoup de plaisir. Édition de qualité, bichromie pour le chapitrage, couverture à rabats, etc ... Un seul regret : pourquoi ne pas avoir fait une édition intégrale comprenant les trois autres nouvelles de ce cycle (pourtant édité au Belial) ? Ça aurait vraiment fait un très bel ouvrage...

PS : Quelqu'un peut m'envoyer par MP le message caché ? J'ai du m'embrouiller en le reprenant surtout à la fin ...

[FeydRautha]

Ça aurait vraiment fait un très bel ouvrage...

Je suis d'accord. (Je t'envoie par MP ce que tu demandes.)

[Erwann]

Je l'ai lu avec beaucoup de plaisir. Édition de qualité, bichromie pour le chapitrage, couverture à rabats, etc ... Un seul regret : pourquoi ne pas avoir fait une édition intégrale comprenant les trois autres nouvelles de ce cycle (pourtant édité au Belial) ? Ça aurait vraiment fait un très bel ouvrage...

Les trois nouvelles précédentes figurent déjà au sommaire de Au-delà du gouffre, sorti il n'y a pas si longtemps. On se réserve le projet d'une intégrale du cycle quand Peter Watts aura davantage avancé (enfin, en supposant qu'il avance — mais ce qu'il nous a évoqué des grandes lignes est passablement grandiose).

[Erwann]

Un court roman incontournable et incroyable, une pépite audacieuse qui serait fort dommage de ne pas lire, que vous soyez lecteur ou non de science-fiction.

Eriophora chez Un Dernier Livre.

[Erwann]

Eriophora confronte avec une rare intelligence et une inventivité rusée l’homme et la machine (bien au-delà des petits jeux logiques par rapport à trois lois de « Lui, Asimov »), assume et fait vibrer les dimensions intrinsèquement politiques de tout programme de mission, apparemment anodin ou non, et pèse finement l’amour, l’amitié et l’empathie au trébuchet de l’intelligence, de la mémoire et de la survie – fût-ce dans un cadre décidément extrême. Un roman peut-être encore plus enthousiasmant que Vision aveugle, ce qui n’est pas peu dire.

On reparle d'Eriophora chez Charybde 27.