Architectes du vertige • 1974 – 2024, cinquante ans de Grand Prix de l’Imaginaire (mai 2024)

[JDB]

Ne pas oublier que le GPI n'a couronné des nouvelles étrangères qu'à partir du millésime 1995. Donc, il y a des chances pour qu'une partie de la sélection francophone antérieure à cette date ait plus mal vieilli que la moyenne des textes.
JDB

[Weirdaholic]

Ne pas oublier que le GPI n'a couronné des nouvelles étrangères qu'à partir du millésime 1995. Donc, il y a des chances pour qu'une partie de la sélection francophone antérieure à cette date ait plus mal vieilli que la moyenne des textes.

En effet ! Après, moi, comme je le disais, j'ai trouvé intéressant le texte de Frémion (en raison de son ton pince-sans-rire), et comme j'aime bien les Territoires de l'inquiétude, j'ai apprécié de re-découvrir la nouvelle de Wildy Petoud. En prime, ces textes me semblent en adéquation avec le reste de l'anthologie (qui a été très bien composée).

[Erwann]

Architectes du Vertige est une très belle anthologie qui permet de (re)découvrir des nouvelles qui ont marqué le grand prix de l’imaginaire depuis sa création il y a 50 ans. Les choix ont été difficiles selon les décennies mais les nouvelles sont globalement de très haut niveau et montrent toute la qualité de ce format en Imaginaire.

L'avis de Célindanaé !

[Erwann]

Dans le numéro 37 d'Epsiloon, on pourra y lire un papier sur Architectes du vertige, avec des interventions du boss et de Sylvie Allouche.

[Aldaran]

Article très court. Je pense que les lecteurs d'Epsiloon sont déjà des lecteurs de SF.
Mais j'adopte directement la possibologie, j'adore !

[Erwann]

En conclusion, Architectes du vertige offre un aperçu de l’évolution de la science-fiction au travers de textes primés au Grand Prix de l’Imaginaire. Que l’on soit néophyte ou passionné de longue date par la science-fiction, il est intéressant de découvrir ces textes en 2024. Que ce soit pour se rendre compte du champ des possibles dans cette littérature longtemps à la marge et qui a peu à peu gagné en notoriété. Ou pour découvrir le travail et l’acharnement de passionnés à la genèse du GPI, comme le rappelle Jean-Pierre Fontana dans sa Postface. Enfin, notons que si l’ouvrage est très bon, il est aussi très beau. L’illustration de Caza et le travail éditorial du Bélial’ donnent à cette anthologie l’écrin qu’il mérite.

C'est la conclusion de Jean-Marie Garniel pour la Yozone.