Par sa peinture tristement juste des travers de la nature humaine plus que par son vernis fantasy, Ormeshadow est une histoire qui reste en tête, un cri de douleur et de chagrin retenu trop longtemps dans une gorge nouée, qui se libère enfin du carcan d’une existence que l’on croyait toute tracée.
L'avis de Gillossen sur Elbakin.