ubikD a écrit :Et surtout lire Persistance de la vision de Varley.
Je ne l'ai pas lu. Ce n'est pas un peu daté d'un point de vue hard-SF ?
ubikD a écrit :Et surtout lire Persistance de la vision de Varley.
ubikD a écrit :Daté ? Je ne suis pas compétent pour en juger. Mais, en matière de SOW et de drôlerie, c'est incomparable. Et, rien que pour lire "Les yeux de la nuit", c'est indispensable.
ubikD a écrit :Ahem.
Entendons-nous bien. La psychologie, c'est un traitement des personnages qui permet de dépasser le stade du stéréotype ? Ce ne sont pas les états d'âme chichiteux de l'autofiction, hein ?
Avec Peter Watts, l’extension du domaine des possibles n’est guère plaisant à découvrir. Il nous confronte à notre condition de créature organique, guidée par des impératifs biologiques rendant les notions philosophiques de liberté ou de libre-arbitre définitivement obsolètes et absurdes. Il nous pousse en tête à tête avec la machine molle imparfaite qui nous définit et nous pousse à agir. Si l’on n’aime pas les avenirs de l’auteur canadien, peut-être vaut-il mieux éviter de se pencher sur notre présent. La dystopie y apparaît finalement comme le roman noir du futur.
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