Bankgreen, de Thierry Di Rollo (février 2011)

[Thomas Day]

Bankgreen fait partie des quatre finalistes du Prix Européen Utopiales des Pays de Loire.
(Source : Marie Masson)

TD

[M]

C'est mérité mais la concurrence va être rude. Le Fleuve des Dieux, Cleer et un quatrième larron que je n'arrive pas à trouver. Mais chapeau aux deux auteurs français qui boxe au côté du poids lourd Mac Donald.

[T. Di R.]

C'est mérité mais la concurrence va être rude. Le Fleuve des Dieux, Cleer et un quatrième larron que je n'arrive pas à trouver. Mais chapeau aux deux auteurs français qui boxe au côté du poids lourd Mac Donald.

Concurrence inaccessible, tu veux dire, Farfadet. Je n'ai hélas aucune chance. Bah! Ce n'est déjà pas si mal de se retrouver parmi les finalistes de ce prix.

[Thomas Day]

C'est mérité mais la concurrence va être rude. Le Fleuve des Dieux, Cleer et un quatrième larron que je n'arrive pas à trouver.

Rêves de gloire, Roland C. Wagner.

GD

[Olivier Girard]

Bankgreen est finaliste un peu partout (prix Imaginales, Elbakin, maintenant prix Européen des Utopiales). Bankgreen / Poulidor, même combat ? ;-)
Thierry : il faut croire en tes chances !

[Algernon]

Et au niveau des ventes, est-ce un succès ?

C'est mérité mais la concurrence va être rude. Le Fleuve des Dieux, Cleer et un quatrième larron que je n'arrive pas à trouver.

Rêves de gloire, Roland C. Wagner.

GD

Les quatre méritent le prix. Le jury s'honorerait en les proclamant tous ex-aequo au lieu de chercher à départager l'indépartageable (aïe, firefox m'informe que le mot n'existe pas).

[Olivier Girard]

Et au niveau des ventes, est-ce un succès ?

On fera le bilan après un an d'exploitation. Avant, ça n'a pas de sens. Ce qui est clair, c'est qu'à ce jour, ça semble mieux (nettement) que les précédents titre de Thierry au Bélial'. Y compris au niveau de l'accueil critique...

[T. Di R.]

Et au niveau des ventes, est-ce un succès ?

On fera le bilan après un an d'exploitation. Avant, ça n'a pas de sens. Ce qui est clair, c'est qu'à ce jour, ça semble mieux (nettement) que les précédents titre de Thierry au Bélial'. Y compris au niveau de l'accueil critique...

Pour renchérir, Algernon, il y a tout de même un indice qui penche en faveur de ventes pas trop catastrophiques (j'insiste sur l'expression): Olivier ne m'aurait en effet pas autorisé à écrire une suite, nous en avions parlé lui et moi avant même la sortie de Bankgreen.
C'est aussi simple que ça. Mon cher éditeur m'aurait renvoyé à mon traitement de texte :-)

[Algernon]

Et au niveau des ventes, est-ce un succès ?

On fera le bilan après un an d'exploitation. Avant, ça n'a pas de sens. Ce qui est clair, c'est qu'à ce jour, ça semble mieux (nettement) que les précédents titre de Thierry au Bélial'. Y compris au niveau de l'accueil critique...

Pour renchérir, Algernon, il y a tout de même un indice qui penche en faveur de ventes pas trop catastrophiques (j'insiste sur l'expression): Olivier ne m'aurait en effet pas autorisé à écrire une suite, nous en avions parlé lui et moi avant même la sortie de Bankgreen.
C'est aussi simple que ça. Mon cher éditeur m'aurait renvoyé à mon traitement de texte :-)

J'avais entendu parler d'une suite mais je n'ai pas fait le rapprochement suite=premier pas trop catastrophique. J'en suis très content et attends cette suite (et tout autre écrit de ta plume) avec impatience.

[Erwann]

La première partie de "Bankgreen" est vraiment excellente, mais après avoir lu "Les trois reliques d'Orvil Fischer", son chef-d'œuvre, la conclusion de ce roman nous laisse un léger goût d'inachevé, on s'attendait à quelque chose de plus grandiose. "Bankgreen" vaut tout de même le détour.

Un avis à lire par ici.