L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Ailleurs & Demain, il me semble, du moins si on se fie aux sous-entendus que laisse filtrer Gérard Klein.
- Nick_le_Vilain
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Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Gurzeh a écrit :Une forme de guerre: la guerre entre la Culture et les Idirans, et le personnage de Horza, en loser magnifique.
Une petite remarque :
Pourquoi loser ? J'aurai dit jusqu'au boutiste, voire intégriste (à cause de ses idées tranchées).
NicK.
“All fled—all done, so lift me on the pyre—
The Feast is over, and the lamps expire.”
― Robert E. Howard
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Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Au final, L’essence de l’art fait l’effet d’une douche froide, sans doute parcequ’on attendait beaucoup trop du Banks nouvelliste et qu’à l’issue de cette lecture l’auteur écossais apparaît bien plus convaincant sur la forme longue. Faut-il pour autant se priver des quelques textes excellents qui parsèment ce recueil sous prétexte que l’ensemble apparaît moyen ? Si vous êtes fan de la Culture et que vous attendiez comme le messie la réédition de “The state of art”, vous avez sans doute déjà craqué. Dans le cas contraire, seul “Descente” fait figure de texte incontournable, vous êtes désormais prévenu.
Un avis mitigé à lire sur Blogger in fabula.
Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
C'est le face-à-face inattendu entre une utopie anarchiste, hédoniste et toute puissante et la dystopie désolante qu'apparaît être la société terrestre du xxème siècle qui constitue le ressort de ce texte, et qui me fait le considérer comme l'un des plus forts qu'ait jamais produit la science-fiction.
Ainsi Jean-Jacques Régnier conclut-il son article (paru dans le dernier Fiction et intitulé "Littérature générale de science-fiction ?") articulé autour de la novella L'Etat des arts / L'Essence de l'art.
Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Bonjour,
J'aimerai savoir si L'Essence de l'art sera dispo en numérique, et si oui, vers quelle date ?
Merci d'avance
J'aimerai savoir si L'Essence de l'art sera dispo en numérique, et si oui, vers quelle date ?
Merci d'avance
- Olivier Girard
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Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Oui, sans doute. Mais pas avant la fin d'année.marko24 a écrit :Bonjour,
J'aimerai savoir si L'Essence de l'art sera dispo en numérique, et si oui, vers quelle date ?
Merci d'avance
Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Voici la couverture de l'édition de poche de L'Essence de l'art, à paraître le 20 février :
(Mine de rien, un effort a été apporté à la couverture par rapport à l'ordinaire, non ?)
La fiche du livre chez Le Livre de Poche.
(Mine de rien, un effort a été apporté à la couverture par rapport à l'ordinaire, non ?)
La fiche du livre chez Le Livre de Poche.
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Re: L'Essence de l'art, de Iain M. Banks (mars 2010)
Je regrette d'avoir arrêté de le lire et l'avoir revendu rapidement. maintenant, j'essaye d'alterner roman/recueil de nouvelles, et je me dis qu'il y a sûrement de bonnes nouvelles, là-dedans. Alors peut-être que j'achèterai le poche. Peut-être.
La couverture est mieux que d'ordinaire. Mais ça dépend aussi de ce que celui qui l'a choisi veut l'utiliser, pour quel effet. Gérard Klein n'aime pas "imposer" d'illustration à l'esprit du lecteur, alors il en choisit une qui n'a rien à voir pour que le lecteur se fasse des images qui ne proviennent que de sa propre imagination. On peut en penser ce que l'on veut mais ce n'est pas une idée fondamentalement mauvaise.
La couverture est mieux que d'ordinaire. Mais ça dépend aussi de ce que celui qui l'a choisi veut l'utiliser, pour quel effet. Gérard Klein n'aime pas "imposer" d'illustration à l'esprit du lecteur, alors il en choisit une qui n'a rien à voir pour que le lecteur se fasse des images qui ne proviennent que de sa propre imagination. On peut en penser ce que l'on veut mais ce n'est pas une idée fondamentalement mauvaise.
« Il est bien difficile de croire que tant de merveilles dans le monde soient l’effet du hasard et de la chimie seulement. » René Barjavel
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