Michael Flynn a écrit :Considérez l'homme qui a le crâne défoncé par un marteau alors qu'il s'en va déjeuner.
(Humour noir plus corrélation-n'est-pas-causalité, tout y est. ^_^)
Sinon, il y a un petit côté Les Agents de Dreamland ou pas du tout ?
Michael Flynn a écrit :Considérez l'homme qui a le crâne défoncé par un marteau alors qu'il s'en va déjeuner.
JDB a écrit :Apophis a écrit :C'est tout à fait ça. Particulièrement à la fin, totalement réjouissante ! (très Silverberg-ienne).
Y a aussi (dans la VF) des vrais morceaux de Michel Audiard dedans. Mais on a tâché de faire dans la discrétion.
JDB
Weirdaholic a écrit :S'il y avait un prix de l'incipit, cette novella ferait sans doute une bonne candidate :Michael Flynn a écrit :Considérez l'homme qui a le crâne défoncé par un marteau alors qu'il s'en va déjeuner.
Shibia a écrit :JDB a écrit :Apophis a écrit :C'est tout à fait ça. Particulièrement à la fin, totalement réjouissante ! (très Silverberg-ienne).
Y a aussi (dans la VF) des vrais morceaux de Michel Audiard dedans. Mais on a tâché de faire dans la discrétion.
JDB
Y en a...
J'avais donc pas rêvé
Pour conclure cette courte chronique, Connexions est une lecture plaisir, drôle, cynique et intelligente, où Michael F. Flynn s'amuse à relier nombre de tropes de la SF sous la houlette du hasard et de la causalité. Une bouffée d'air frais dans les littératures de l'imaginaire.
Je conservais un excellent souvenir du livre de Michael F. Flynn, Eifelheim, paru il y a bien des années. Je me suis donc précipité pour lire son court roman, Connexions, qui vient de sortir en "Une heure-lumière". Que dire si ce n'est que c'est absolument remarquable! Totalement différent de son roman précédent, Flynn fait s'entrecroiser les fils des vies de plusieurs personnages tous plus étonnants les uns que les autres, dont les interactions influent directement sur le destin de la Terre et de ses habitants, que ce soit dans l'univers ou dans le temps - rien de moins -, avec une écriture qui fait constamment appel à l'attention et à l'intelligence du lecteur (qu'il ne sous-estime pas, ce qui fait plaisir). Difficile d'en dire plus sans spoiler...
Comme toujours, très belle traduction de Jean-Daniel Brèque qui n'a pas dû s'amuser tous les jours avec ce texte aussi fin que complexe. Et merci au Bélial de l'avoir choisi et publié !
"En France, pays où l'on a des gens qui s'appellent des intellectuels (catégorie d'individus dont le rôle est de faire la fine bouche)..."
Préface à Territoires de l'inquiétude 1, 1991
François Schnebelen, sur la Yozone.une friandise ne cessant de contenter notre cerveau au fur et à mesure que l’on avance…
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