L'Automate de Nuremberg, Thomas Day (août 2024)

[Olivier Girard]

Un récit uchronique fascinant.

C'est en tout cas l'avis de Sylvain Bonnet sur Boojum.

[yogo]

Mon petit billet

[M]

Ce texte je ne sais jamais comment exprimé mes sentiments dessus. Il résonne de manière très particulière chez moi. Dans mon panthéon des UHL il est installé tout en haut dans une place un peu part. Comme une madeleine de Proust. Merci à Gilles de l'avoir écrit.

[Thomas Day]

Ce texte je ne sais jamais comment exprimé mes sentiments dessus. Il résonne de manière très particulière chez moi. Dans mon panthéon des UHL il est installé tout en haut dans une place un peu part. Comme une madeleine de Proust. Merci à Gilles de l'avoir écrit.

(En guise de remerciements:)
C'est marrant, quand j'ai relu le texte pour la réédition, j'ai vraiment eu l'impression que celui-ci avait été écrit par un "autre". Je m'en suis senti très loin. Et parfaitement incapable de me souvenir de pourquoi je l'avais écrit, dans quelles conditions, etc.
Je ne pense pas que je serai (à nouveau, de nouveau ?) capable de réécrire quelque chose de ce genre.
En tout cas, pour Une Heure Lumière je ne l'ai pas réécrite, modifiée, touchée ; ça n'aurait eu aucun sens.

Je viens de finir une novella (sans doute une des plus grosses que j'ai jamais écrites) qui est la version complète d'un texte plus ancien (publié en anthologie en 2000) et là c'est l'inverse, je me suis retrouvé dans mes pantoufles dès la première ligne.
"Mon vautour est vieux maintenant."
J'avais déjà essayé de la finir en 2011, pendant mon voyage d'anniversaire au Kenya. Et puis, j'avais préféré voyager plutôt que de rester enfermé dans une chambre d'hôtel à écrire.
En la finissant, j'ai retrouvé une énergie narrative punk, une sorte d'hystérie, qui m'a manqué cruellement ces dernières années.
Une dernière relecture à tête reposée... et ça part chez le boss.

TD