JDB a écrit :Ah! c'est toi, l'appentis sorcier?
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JDB
Excellent ! :D
JDB a écrit :Ah! c'est toi, l'appentis sorcier?
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JDB
En fait, c'est le bureau d'Erwann. Il ose pas le dire, mais c'est la vérité toute moche… En même temps, c'est aussi là qu'il dort, alors évidemment…Erwann a écrit :FeydRautha a écrit :J'aime ces photos prises sur fond de cave humide.
En fait, c'est juste le sol de l'appentis du jardin, ouvert aux quatre vents (enfin, juste un ou deux mais c'est déjà ça).
(J'aime casser la magie. De rien.)
Olivier Girard a écrit :En même temps, c'est aussi là qu'il dort, alors évidemment…
L’impression qui se dégage est finalement de lire non pas un recueil, mais un roman, ou tout du moins un fix-up, qui présente à travers une série de portraits une Histoire possible du futur dans lequel se débattent ses personnages. Et c’est là sa très grande qualité. J’avais apprécié L’Accroissement mathématique du plaisir, j’ai beaucoup aimé L’Arithmétique terrible de la misère dans la totalité de ces quinze textes pris comme un tout.
En somme, vous trouverez là de la bonne SF, entendue surtout comme Speculative Fiction, de celle qui vise à faire considérer les problèmes du présent, et à en extrapoler les visages futurs.
L’imaginaire de Catherine Dufour est immersif, étouffant, il laisse peu de place à la respiration, la tête du lecteur est pris dans un étau, mais sans qu’il essaie de l’en sortir, avide qu’il est de sensations distillées ici avec brio.
« L’arithmétique terrible de la misère », mieux qu’une science, un art à part entière.
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