Tout à fait d'accord avec Pierre-Paul.Pierre-Paul a écrit :Heu... pas pour être désagréable, mais vous allez continuer longtemps avec ce blogueur? Il a le droit à son opinion, il a le droit de l'exprimer comme il l'entend. On pourrait peut-être passer à autre chose?
Olivier Girard a écrit :En un mois, il y a eu près de 300 réassorts du Dragon Griaule. Ce n'est pas l'émeute, mais c'est dans doute, et de loin, le meilleur démarrage d'un livre de Shepard au Bélial'. Ce qui est intéressant, me semble-t-il, c'est que le titre s'installe. Les réassorts ont été longs à venir, mais ils sont désormais constants, voire ont tendance à s'accroitre. Ce qui signifie, je crois, que le bouche à oreille fonctionne plutôt bien...
Un vieux maître (niveau 20, au moins !) de la diffusion m'a un jour expliqué que pour savoir si un livre allait fonctionner, ledit bouquin devait faire en réassort 20% au moins de sa mise en place le premier mois de son exploitation. Nous n'en sommes pas là (c'est 340 réassorts, que nous aurions dû faire), mais ce n'est pas si loin. Bref, il est permis d'espérer... C'est déjà ça.
On aurait pu croire qu’en abordant le registre de la fantasy, Lucius Shepard adoucisse son discours et se tourne vers une littérature moins engagée, davantage axée sur le divertissement. Les six textes qui composent ce recueil prouvent à chaque page le contraire. Lucius Shepard reste un auteur profondément ancré dans le réel, fidèle à lui-même il continue d’explorer l’âme humaine et bien évidemment ses nombreux travers. Avec une acuité étonnante et une sensibilité à fleur de peu il observe la société, en dénonce les dérives, toujours à travers le prisme de l’individu, de ses douleurs, de ses erreurs et de ses doutes.
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