C'est un hymne à l'incompréhensible et à l'inimaginable, au plaisir et à la nécessité d'y réfléchir à défaut de pouvoir pleinement les envisager. C'est une très belle novella.
Chez 233°C, on trouve le texte calliente.
C'est un hymne à l'incompréhensible et à l'inimaginable, au plaisir et à la nécessité d'y réfléchir à défaut de pouvoir pleinement les envisager. C'est une très belle novella.
Avec Un an dans la Ville-Rue, Paul Di Filippo nous propose l’histoire d’une surprenante ville-monde pendant un an au travers du regard d’un écrivain. Il effectue ainsi une véritable mise en abyme rendant hommage aux récits populaires, à l’imaginaire. Le récit se dédouble ainsi, portant de multiples réflexions en son sein. La traduction de Pierre-Paul Durastanti vient parfaire ce texte et donne envie de replonger une nouvelle fois dans cette ville-rue pour en explorer les recoins et références qu’on aurait raté à la première lecture.
Un texte particulier qui ne pouvait paraître nulle part ailleurs que dans la collection Une Heure Lumière.
FeydRautha a écrit :Ça me fait penser à The Line, ce projet saoudien assez barré de ville futuriste (et qui ne se fera sans doute jamais).
Passionnante de bout en bout, la plongée dans la Ville-Rue est tout simplement fantastique.
Récit d'atmosphère stylé, émouvant, auto-réflexif et inclassable (enfin si, il relève du New Weird, comme le Chroniqueur l'explique fort bien), Un an dans la Ville-rue mérite amplement sa place dans la non moins stylée collection Une Heure-lumière – à quand la traduction de sa suite, A Princess of the Linear Jungle ?
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