C'est ce qui m'a séduit : la technologie a de nouveau fait un grand bond... mais pas les personnages principaux. Ce qui me paraît parfaitement réaliste, vu notre peu d'évolution spirituelle -- morale, éthique, intellectuelle -- depuis des siècles, voire des millénaires, par rapport à nos progrès matériels.
(Ceci dit, beaucoup de critiques semblent ignorer ce qui a valu le prix Sturgeon au texte : les tresses.)
Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
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Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Pierre-Paul Durastanti a écrit :C'est ce qui m'a séduit : la technologie a de nouveau fait un grand bond... mais pas les personnages principaux. Ce qui me paraît parfaitement réaliste, vu notre peu d'évolution spirituelle -- morale, éthique, intellectuelle -- depuis des siècles, voire des millénaires, par rapport à nos progrès matériels.
Réflexion hautement andersonienne.
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Le Chien critique n'est pas convaincu.
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Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
(Ceci dit, beaucoup de critiques semblent ignorer ce qui a valu le prix Sturgeon au texte : les tresses.)
" le cœur de l’intrigue tient dans les structures des familles, les tresses. Comme les Raméens d’Arthur Clarke, les Vénusiens pensent par trois. Lors des mariages - toujours arrangés - les époux ou épouses sont affublés de deux conjoints, l’un son aîné de vingt ans, l’autre son cadet de vingt ans. Le plus âgé des trois prend le rôle de tuteur."
Ouf ?
Re: Le Sultan des Nuages, Geoffrey A. Landis (août 2017)
Le texte le plus "anodin" de tous pour le moment. C'est chouette à lire mais je pense que je vais vite l'oublier. J'attaque le Zelazny ce soir.
"Sauvez un arbre, mangez un castor"
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