Erwann a écrit :… on ne peut alors que s’émerveiller devant la qualité d’écriture, l’inventivité tant dans les êtres décrits, que dans la création de vocabulaire, de noms, de formes, de concepts. Sans oublier l’émotion qui monte tout au long de la novella.
Je plussoie, avec une chronique qui multiplie les comparaisons pour mieux, je l'espère, faire sentir l'originalité de l'oeuvre (la station vs Grenade, Victor Hondaya vs E. M., Audrey Pleynet vs Michael Cimino, et j'en passe ^_^).