Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Les Vandales du vide est un roman inédit de Jack Vance, qui paraîtra le 24 mars 2016 et qui inaugurera une nouvelle collection, Pulps (tout est dans le nom).
Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
17€ pour du Pulp, c'est cher
Ok je sors.
Un Vance inédit ca fait bien plaisir
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Un Vance inédit ca fait bien plaisir
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- Axiomatique
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Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
en voilà une bonne nouvelle !
de la bonne vieille SF à venir !
une nouvelle collection nommée pulps... Cela signifiera t'il des œuvres SF de l'Age d'or jusqu'aux années 60/70 orientées évasion et aventures ? Et les couvertures, seront elles typées pulps ? Et quelques titres à venir pour 2016 /2017 ?
de la bonne vieille SF à venir !
une nouvelle collection nommée pulps... Cela signifiera t'il des œuvres SF de l'Age d'or jusqu'aux années 60/70 orientées évasion et aventures ? Et les couvertures, seront elles typées pulps ? Et quelques titres à venir pour 2016 /2017 ?
Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Pardon mais pourquoi ?
(cette segmentation)
@ captain penobo, en v'là du pulp :
Pédalo spatial pour rétropédaler au futur antérieur.
(cette segmentation)
@ captain penobo, en v'là du pulp :
Pédalo spatial pour rétropédaler au futur antérieur.
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Je vais répondre de mon mieux.
Au départ, j'ai suggéré un label pour différencier certains livres que j'aimerais publier (ou voir publiés) au Bélial'. Essentiellement, des bouquins d'aventures, space-op ou planet-op le plus souvent, d'époque ou rétro, pas forcément étrangers d'origine : il s'agit davantage d'un esprit pulp que d'une réalité contraignante. Il m'a paru plus clair d'identifier la chose pour les lecteurs qui pourraient s'estimer mal informés : si tu prends un "Pulps", tu n'attends pas, à juste titre, un Ken Liu ou un Christopher Priest, pour citer deux volumes récents de la maison sur lesquels j'ai eu l'insigne honneur de travailler.
Olivier a eu un rire sardonique et rétorqué en gros : "Excellente idée, d'ailleurs tu vas diriger la collection !" J'imagine les volumes comme plutôt modestes en termes de taille, mais il s'agira de vrais romans -- ou recueils, ou anthologies... je ne m'interdis rien. Ainsi, Jean-Daniel m'a proposé de réunir un recueil "pulp" de Poul Anderson et j'ai accepté son offre avec enthousiasme. Pour l'an prochain, sans doute. On commence calmos ; il s'agissait de tester l'accueil, et de ne pas parasiter le lancement d'Une Heure-Lumière.
Voilà. On va tâcher de s'amuser, de distraire, d'exhumer des trucs sympa. Pas d'autre ambition, mais j'estime depuis le début de ma collaboration avec la maison (et même avant, car Olivier se souvient très bien de notre première discussion sérieuse en... pfiou... 1999) qu'il manque désormais un courant populaire dans la production française : une collection sortant des livres funs, accessibles, susceptibles de séduire un public qui ne serait pas déjà acquis. Cela existe de nouveau pour le domaine francophone (Critic fait ça très bien, par exemple) ; j'ai pour projet d'élargir un peu la palette.
Au départ, j'ai suggéré un label pour différencier certains livres que j'aimerais publier (ou voir publiés) au Bélial'. Essentiellement, des bouquins d'aventures, space-op ou planet-op le plus souvent, d'époque ou rétro, pas forcément étrangers d'origine : il s'agit davantage d'un esprit pulp que d'une réalité contraignante. Il m'a paru plus clair d'identifier la chose pour les lecteurs qui pourraient s'estimer mal informés : si tu prends un "Pulps", tu n'attends pas, à juste titre, un Ken Liu ou un Christopher Priest, pour citer deux volumes récents de la maison sur lesquels j'ai eu l'insigne honneur de travailler.
Olivier a eu un rire sardonique et rétorqué en gros : "Excellente idée, d'ailleurs tu vas diriger la collection !" J'imagine les volumes comme plutôt modestes en termes de taille, mais il s'agira de vrais romans -- ou recueils, ou anthologies... je ne m'interdis rien. Ainsi, Jean-Daniel m'a proposé de réunir un recueil "pulp" de Poul Anderson et j'ai accepté son offre avec enthousiasme. Pour l'an prochain, sans doute. On commence calmos ; il s'agissait de tester l'accueil, et de ne pas parasiter le lancement d'Une Heure-Lumière.
Voilà. On va tâcher de s'amuser, de distraire, d'exhumer des trucs sympa. Pas d'autre ambition, mais j'estime depuis le début de ma collaboration avec la maison (et même avant, car Olivier se souvient très bien de notre première discussion sérieuse en... pfiou... 1999) qu'il manque désormais un courant populaire dans la production française : une collection sortant des livres funs, accessibles, susceptibles de séduire un public qui ne serait pas déjà acquis. Cela existe de nouveau pour le domaine francophone (Critic fait ça très bien, par exemple) ; j'ai pour projet d'élargir un peu la palette.
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- Axiomatique
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Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
d'abord un petit merci à scifictif pour la couverture. Ha ! la belle époque des space liners phalliques et autres véhicules spatiaux !
j'apprécie la ligne directrice explicitée par P.P DURASTANTI et je salive d'avance car les space / planet opéra sont mes genres de prédilection en SF. Par contre je m'interroge sur l'accueil de ces ouvrages auprès des "non initiés"... Autant le caractère ligth fiction de la collection "une heure lumière" peut attirer des lecteurs peu familiarisés avec la SF en général, histoire de les apprivoiser doucement au genre, autant je crains que les genres "pulp" (pour faire simple) ne fassent frissonner que les accrocs à la chose. Star wars inonde la planète de son space opéra mais je ne suis pas persuadé que la bascule vers les livres typés "aventures SF" se fasse, ou alors au compte goutte.
La SF demeure un genre fermé avec son cortège de fanatiques et adorateurs et collectionneurs... c'est là aussi son originalité par rapport aux autres compartiments littéraires, non ?
Qu'en pensez vous ?
j'apprécie la ligne directrice explicitée par P.P DURASTANTI et je salive d'avance car les space / planet opéra sont mes genres de prédilection en SF. Par contre je m'interroge sur l'accueil de ces ouvrages auprès des "non initiés"... Autant le caractère ligth fiction de la collection "une heure lumière" peut attirer des lecteurs peu familiarisés avec la SF en général, histoire de les apprivoiser doucement au genre, autant je crains que les genres "pulp" (pour faire simple) ne fassent frissonner que les accrocs à la chose. Star wars inonde la planète de son space opéra mais je ne suis pas persuadé que la bascule vers les livres typés "aventures SF" se fasse, ou alors au compte goutte.
La SF demeure un genre fermé avec son cortège de fanatiques et adorateurs et collectionneurs... c'est là aussi son originalité par rapport aux autres compartiments littéraires, non ?
Qu'en pensez vous ?
- Pierre-Paul Durastanti
- L'équipe du Bélial'
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Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Que la SF littéraire soit un "genre fermé", c'est sans aucun doute l'idée reçue, ces temps-ci. Comme justement il y a toutes sortes de possibilités pour lire ce que tu appelles du "light" -- un terme auquel, pour ma part, je n'adhère pas trop --, il me semble qu'il y a de la place pour autre chose. On verra bien !
Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Vous prévoyez combien de volume ? La collection aura-t-elle une identité marquée comme Une Heure-Lumière ?
"Sauvez un arbre, mangez un castor"
Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
Il me semble que la SF est un "genre fermé" quand on appose le terme SF, dès qu'on vend çà en littérature blanche ca devient ouvert auprès des réfractaires.Pierre-Paul Durastanti a écrit :Que la SF littéraire soit un "genre fermé", c'est sans aucun doute l'idée reçue, ces temps-ci. Comme justement il y a toutes sortes de possibilités pour lire ce que tu appelles du "light" -- un terme auquel, pour ma part, je n'adhère pas trop --, il me semble qu'il y a de la place pour autre chose. On verra bien !
- Pierre-Paul Durastanti
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Re: Les Vandales du vide, Jack Vance (mars 2016)
M a écrit :Vous prévoyez combien de volume ? La collection aura-t-elle une identité marquée comme Une Heure-Lumière ?
Variable. Deux ou trois par an, j'imagine. Non, il y aura juste un logo différent (et tout joli, et très connoté, dû à Philippe Gady). Même le format pourra varier selon la taille du bouquin, un peu comme les Bélial' "normaux".
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