Il y a un quart de siècle, le jeune Gutboy prenait une claque avec Seigneur de Lumière.
ll y a 5 jours le toujours jeune Gutboy prenait une méga claque avec Seigneur de Lumière.
Un grand merci public pour la ré-édition DLE et le Bifrost spécial Z.
Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
People with no interest in science are very well catered for in science fiction; 99% of SF is written for them. I make no apology for contributing to the 1% that treats science as something of interest in its own right. Greg Egan
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arggh
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Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Salut,
C'est mom premier message sur le site!
Je suis un lecteur de la revue Bifrost depuis quelques années déjà et je viens de me procurer le dernier numéro qui s'avére passionnant...
Pour terminer j'ai une grande main avec un crayon au bout et j'illustre des mondes imaginaires...
mon blog portfolio art de l'imaginaire [/url][url]http://szabo.canalblog.com
[url][/url]
C'est mom premier message sur le site!
Je suis un lecteur de la revue Bifrost depuis quelques années déjà et je viens de me procurer le dernier numéro qui s'avére passionnant...
Pour terminer j'ai une grande main avec un crayon au bout et j'illustre des mondes imaginaires...
mon blog portfolio art de l'imaginaire [/url][url]http://szabo.canalblog.com
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Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Un très bon bifrost. Demain je fais chauffer le portefeuille chez les bouquinistes pour récupérer les livres critiqués qui m'ont tapé dans l'oeil
"Sauvez un arbre, mangez un castor"
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Farfadet a écrit :Un très bon bifrost. Demain je fais chauffer le portefeuille chez les bouquinistes pour récupérer les livres critiqués qui m'ont tapé dans l'oeil
De même pour ma part !
(J'ai repéré, "This is not America" de T. Day, "Gagner la Guerre" de Jaworski, "Suprematie" McAllister, Sidmack et surtout Poul Anderson)
Ma liste de livres à acquérir s'allonge systématiquement à chaque numéro, pour tenter d'étaler les dépenses. Je crains que ce soit un problème éternel...
La liste que je dépose à la bibliothèque municipale s'allonge également, mais, malheureusement le rayon SF/fantasy n'est pas leur priorité!!!!!
Reste e-bay....
Bref, pour revenir à ce numéro de Bifrost, j'ai particulièrement apprécier "Permafrost" que je ne connaissais pas et son auteur!
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Chaque lecteur s'appropriant le sien, petit compte-rendu de mon bifrost 55.
Un premier post pour les fictions :
Permafrost de Roger Zelazny
Texte drôle et poétique. Le tout dernier paragraphe est splendide, belle profession de foi de l'auteur qui voit en nos domaines une relecture magnifiée des ressorts éculés du mainstream.
Gros bémol cependant. Je ne voudrais pas jouer mon Damon Knight mais je trouve quand même que sa pirouette pour dénouer la situation (son "mindswap") est quand même un peu facile. Zelazny prétend s'être promis de "ne pas faire injure à l'intelligence du lecteur" mais là, franchement, il ne s'est pas foulé. Je n'ai rien contre le mélange des genres mais ce dénouement jure avec le reste et parait bien artificiel.
Demain les eidolies de Lucas Moreno
Que ceux qui aiment les histoires à chute, les récits qui traitent de la création artistique, les vertiges métaphysiques, les mises en abyme, les univers gigognes et autres solipsismes, le tout dans une narration à rebours très habilement menée; se jettent sur ce texte, c'est une perle rare.
Cette nouvelle (au titre évocateur du classique de Simak et qui en quelque sorte en prolonge les perspectives) m'a fortement fait penser à ce récit, à mes yeux, génial de Jean-Claude Dunyach, "Détails de l'exposition".
Après le texte de Mieville, je m'étais dit que les p'tits gars de Bifrost devraient se lever de bonne heure pour proposer un texte aussi enthousiasmant, et bien l'attente fut brève...
Mais en même temps, je me demande, un peu inquiet, si l'auteur, l'éditeur et nous, lecteurs, ne serions pas quelques spécimens d'hypereidolies...
Un premier post pour les fictions :
Permafrost de Roger Zelazny
Texte drôle et poétique. Le tout dernier paragraphe est splendide, belle profession de foi de l'auteur qui voit en nos domaines une relecture magnifiée des ressorts éculés du mainstream.
Gros bémol cependant. Je ne voudrais pas jouer mon Damon Knight mais je trouve quand même que sa pirouette pour dénouer la situation (son "mindswap") est quand même un peu facile. Zelazny prétend s'être promis de "ne pas faire injure à l'intelligence du lecteur" mais là, franchement, il ne s'est pas foulé. Je n'ai rien contre le mélange des genres mais ce dénouement jure avec le reste et parait bien artificiel.
Demain les eidolies de Lucas Moreno
Que ceux qui aiment les histoires à chute, les récits qui traitent de la création artistique, les vertiges métaphysiques, les mises en abyme, les univers gigognes et autres solipsismes, le tout dans une narration à rebours très habilement menée; se jettent sur ce texte, c'est une perle rare.
Cette nouvelle (au titre évocateur du classique de Simak et qui en quelque sorte en prolonge les perspectives) m'a fortement fait penser à ce récit, à mes yeux, génial de Jean-Claude Dunyach, "Détails de l'exposition".
Après le texte de Mieville, je m'étais dit que les p'tits gars de Bifrost devraient se lever de bonne heure pour proposer un texte aussi enthousiasmant, et bien l'attente fut brève...
Mais en même temps, je me demande, un peu inquiet, si l'auteur, l'éditeur et nous, lecteurs, ne serions pas quelques spécimens d'hypereidolies...
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
A mon sens, la 2nde pépite de ce Bifrost-ci est l'article de notre bon professeur Lehoucq sur la téléportation quantique, les états intriqués et les trous de vers. Limpide et hyper interessant, comme d'hab'. Et vertigineux.
Une chose me tracasse cependant. Le trou de vers est présenté dans l'article comme un raccourci spatio-temporelle, ce que la figure 1 n'illustre pas vraiment... Il me semble que l'horizon, plutôt que rectiligne, aurait dû être incurvé pour que le trou de vers soit effectivement un raccourci.
En même temps, pas simple de figurer en 2 D une réalité qui en a (au moins) 4.
Le dossier Zelazny a confirmé mon préjugé sur cet auteur : pas trop mon truc. Le mélange des genres voui, mais ça dépend lesquels... Et concernant la Fantasy, je suis quand même à ranger dans la catégorie des "indécrottables" pointés par Olivier.
L'article de Fred Jaccaud est encore une fois très interessant. De par sa nationalité et sa faculté à dégoter des bouquins introuvables, je me demande si le bonhomme n'aurait pas quelque accointance avec la Maison d'Ailleurs.
Sinon j'ai encore bien rigolé en lisant les dézingages mâtinés d'humour de quelques-uns des bouquins critiqués. Non, l'humour n'est pas que la politesse du seul désespoir.
Ai bien ri aussi de cette situation cocasse où Gilles dût préciser que son compliment (à Célia Chazel en l'occurence) était sincère et non teinté de son ironie habituelle.
Un bémol quand même dans ce numéro : les coquilles.
P.S : Jacques Finné, traducteur, c'est une blague ?
Une chose me tracasse cependant. Le trou de vers est présenté dans l'article comme un raccourci spatio-temporelle, ce que la figure 1 n'illustre pas vraiment... Il me semble que l'horizon, plutôt que rectiligne, aurait dû être incurvé pour que le trou de vers soit effectivement un raccourci.
En même temps, pas simple de figurer en 2 D une réalité qui en a (au moins) 4.
Le dossier Zelazny a confirmé mon préjugé sur cet auteur : pas trop mon truc. Le mélange des genres voui, mais ça dépend lesquels... Et concernant la Fantasy, je suis quand même à ranger dans la catégorie des "indécrottables" pointés par Olivier.
L'article de Fred Jaccaud est encore une fois très interessant. De par sa nationalité et sa faculté à dégoter des bouquins introuvables, je me demande si le bonhomme n'aurait pas quelque accointance avec la Maison d'Ailleurs.
Sinon j'ai encore bien rigolé en lisant les dézingages mâtinés d'humour de quelques-uns des bouquins critiqués. Non, l'humour n'est pas que la politesse du seul désespoir.
Ai bien ri aussi de cette situation cocasse où Gilles dût préciser que son compliment (à Célia Chazel en l'occurence) était sincère et non teinté de son ironie habituelle.
Un bémol quand même dans ce numéro : les coquilles.
P.S : Jacques Finné, traducteur, c'est une blague ?
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
scifictif a écrit :P.S : Jacques Finné, traducteur, c'est une blague ?
Je me suis posé la même question...comme beaucoup je pense.
Lecture précédente : L'été de l'infini.
Lecture actuelle : Bifrost King.
Lecture actuelle : Bifrost King.
Re: Bifrost n° 55 : Spécial Zelazny (juillet 2009)
Bel exemple d'aptonymie s'il ne s'agit pas d'un pseudo.
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