Oui, je pense que Wicker_man confond avec les petits MP des livres du bélial. Ceux de Bifrost ont une taille normale.
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Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
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Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Farfadet a écrit :C'est ça Clément. Avant il y a des marques pages comme ceux que l'on troue quand on achète un livre du Bélial'. Avec un morceau de couverture.
A.C. de Haenne a écrit :Oui, je pense que Wicker_man confond avec les petits MP des livres du bélial. Ceux de Bifrost ont une taille normale.
Euh...
Oui, vous avez tout à fait raison!
[MODE J'AI QUAND MEME RAISON ON]Mais bon, comme ils arrivent dans Bifrost...[/MODE J'AI QUAND MEME RAISON OFF] ;-)
En tout cas, moi ça me plait!
"Les chiens aboient, la carapace vanne." - Jean-Claude Dunyach (26/04/2010) -
Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Olivier Girard a écrit :D’autant que l’investissement initial côté éditeur a pour l’heure tendance à monter car la demande est telle que les prix d’achat des droits d’auteurs auprès des agents deviennent délirants. Ça ne durera sans doute pas, mais c’est pour l’heure une réalité. Que va-t-il donc se passer ? Si on en juge par les programmes de parution 2010 de nos amis éditeurs, un retour des auteurs francophones.
Quand tu parles du prix d’achat des droits d’auteurs, tu parles de tous les auteurs non-francophones ou uniquement des anglo-saxons ? Dans le deuxième cas, pourquoi ne pas traduire des auteurs russes, italiens, espagnols... ?
- Olivier Girard
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Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Quand tu parles du prix d’achat des droits d’auteurs, tu parles de tous les auteurs non-francophones ou uniquement des anglo-saxons ? Dans le deuxième cas, pourquoi ne pas traduire des auteurs russes, italiens, espagnols... ?
Des anglo-saxons (en réponse à ta première question). Pour les autres, je ne sais pas.
Et pour répondre à ta seconde question, parce qu’il y a un coût de traduction important (souvent supérieur d’ailleurs à une traduction depuis l’anglais) et un horizon de ventes qui n’est pas supérieur aux auteurs français, voire même plutôt inférieur. Dans ces conditions, leur cas est malheureusement vite réglé. Au bénéfice des auteurs français.
Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Olivier Girard a écrit :Quand tu parles du prix d’achat des droits d’auteurs, tu parles de tous les auteurs non-francophones ou uniquement des anglo-saxons ? Dans le deuxième cas, pourquoi ne pas traduire des auteurs russes, italiens, espagnols... ?
Des anglo-saxons (en réponse à ta première question). Pour les autres, je ne sais pas.
Et pour répondre à ta seconde question, parce qu’il y a un coût de traduction important (souvent supérieur d’ailleurs à une traduction depuis l’anglais) et un horizon de ventes qui n’est pas supérieur aux auteurs français, voire même plutôt inférieur. Dans ces conditions, leur cas est malheureusement vite réglé. Au bénéfice des auteurs français.
Il me semblait que certains auteurs espagnols se vendaient correctement en France depuis quelques temps justement non ?
Après, une question bête : pourquoi une traduction espagnol - français coûte-t-elle plus cher qu'une anglais-français ?
Tremblay les chaussettes ville super chouette
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Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Peut-être parce qu'il y a plus de traducteurs de la deuxième sorte ?
A.C.
A.C.
Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
A.C. de Haenne a écrit :Peut-être parce qu'il y a plus de traducteurs de la deuxième sorte ?
A.C.
Sans chercher trop loin j'en connais au moins 4 actifs actuellement dans les genres qui nous intéressent.
Ce qui me semble a priori largement suffisant pour le nombre de parutions en cours non ?
Bon, si y a du potentiel je veux bien me recycler en traductrice espagnol français si ça paye un peu xD
Tremblay les chaussettes ville super chouette
Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
marypop a écrit :Bon, si y a du potentiel je veux bien me recycler en traductrice espagnol français si ça paye un peu xD
Même chose.
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Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Olivier Girard a écrit :Et pour répondre à ta seconde question, parce qu’il y a un coût de traduction important (souvent supérieur d’ailleurs à une traduction depuis l’anglais) et un horizon de ventes qui n’est pas supérieur aux auteurs français, voire même plutôt inférieur. Dans ces conditions, leur cas est malheureusement vite réglé. Au bénéfice des auteurs français.
Oui, mais on laisse aussi passer les chefs d'œuvre pour des histoires de coût ? Ou il n'y en a pas ?
- Thomas Day
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Re: Bifrost n°57 : Spécial Robert Heinlein (janvier 2010)
Les chefs d'œuvre des langues étrangères sortent souvent chez des éditeurs spécialisés dans ces langues (Métaillié pour l'Italien par exemple), pas forcément dans des collections de genre.
Pour ce que j'ai pu observer, les très très bons textes prennent très vite preneur qu'elle que soit la langue d'origine. Je pense au Libraire d'Elizarov (à paraître chez Calmann-Lévy), qui est parti à un prix correct puisque j'avais fait une offre correcte.
Chez Denoël, on explore actuellement une piste prometteuse (mais je ne peux pas en dire davantage)...
La plupart des éditeurs travaillent avec des "scouts" qui envoient chaque semaine voire chaque jour des tonnes d'infos, les foires de Londres (Printemps) et Francfort (automne) sont l'occasion de découvrir des textes du monde entier.
Certains petits pays sont prêts à payer intégralement les coûts de traduction ; ils ont du budget culturel pour ça. Souvent l'agent qui représente le texte arrive avec le financement partiel ou intégral de la trad'.
GD
Pour ce que j'ai pu observer, les très très bons textes prennent très vite preneur qu'elle que soit la langue d'origine. Je pense au Libraire d'Elizarov (à paraître chez Calmann-Lévy), qui est parti à un prix correct puisque j'avais fait une offre correcte.
Chez Denoël, on explore actuellement une piste prometteuse (mais je ne peux pas en dire davantage)...
La plupart des éditeurs travaillent avec des "scouts" qui envoient chaque semaine voire chaque jour des tonnes d'infos, les foires de Londres (Printemps) et Francfort (automne) sont l'occasion de découvrir des textes du monde entier.
Certains petits pays sont prêts à payer intégralement les coûts de traduction ; ils ont du budget culturel pour ça. Souvent l'agent qui représente le texte arrive avec le financement partiel ou intégral de la trad'.
GD
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