Et hop c'est déjà pas mal lu.
La nouvelle de sabrina calvo m'a laissé à côté, pour les mêmes raisons que mes prédécesseurs dans ce fil.
Celle de Ken liu est au niveau comme d'habitude.
Et comme d'habitude le cahier critique est vraiment très très bon. Merci pour la découverte de trafalgar, à la volte.
Et pour la revue anticipation, aussi.
Par contre l'interview de sabrina calvo m'a paru très écrite, très travaillée. Un peu dommage, pour un exercice qui se veut un peu spontané, d'habitude...
Enfin, le texte de Romain lucazeau me fait un peu l'effet d'une tempête de bénitier...
Merci pour tout, je retourne décortiquer le cahier critique !
Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Comme l'indiquait Batcheva, la novelette de Sabrina Calvo mérite une deuxième lecture (après, en ces temps où on est sollicité de partout, trouver du temps pour de la relecture est difficile, je conçois bien). Pour ma part, je me souviens m'être cassé les dents par le passé sur d'autres nouvelles de l'autrice et j'ai été agréablement surpris de trouver celle-ci plutôt accessible.
Par contre, Xapur et Rémi, vous évoquez donc Calvo et Liu… mais vous avez vu qu'il y a aussi une novelette de Daryl Gregory au sommaire ? ;-)
Par contre, Xapur et Rémi, vous évoquez donc Calvo et Liu… mais vous avez vu qu'il y a aussi une novelette de Daryl Gregory au sommaire ? ;-)
Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
L'avis de François Rahier dans le Sud-Ouest Dimanche du 9 février :
Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Une très belle couverture, un bon dossier, de bonnes nouvelles, un bon epub, un bon cataclysme, que demander de plus ?
Que ce soit toujours pareil !
L'avis du Chien critique.
Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Contrairement aux autres je n'ai pas encore lu la nouvelle de Liu (je me la garde de côté pour ce weekend) mais ai beaucoup aimé celle de Sabrina Calvo. Sans tout comprendre (mais je n'attend jamais de tout comprendre de sa poésie/prose/hack) je l'ai trouvée très forte, émouvante et bon hacker la neige quoi!
Du reste j'ai aussi trouvé l'interview très écrite (ça ne m'a pas dérangée) mais j'imagine que c'est du au fait qu'elle est justement retravaillée ?
(Concernant la tribune de Romain Lucazau, je l'ai trouvée intéressante mais rejoins Aldaran dans le fait de penser que la littérature est un fait politique. Et pas forcément quand elle l'annonce d'entrée de jeu... Même aussi et surtout quand elle s'en défend!)
Du reste j'ai aussi trouvé l'interview très écrite (ça ne m'a pas dérangée) mais j'imagine que c'est du au fait qu'elle est justement retravaillée ?
(Concernant la tribune de Romain Lucazau, je l'ai trouvée intéressante mais rejoins Aldaran dans le fait de penser que la littérature est un fait politique. Et pas forcément quand elle l'annonce d'entrée de jeu... Même aussi et surtout quand elle s'en défend!)
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- Olivier Girard
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Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Oui, l'entretien a été beaucoup retravaillé. Sabrina s'est beaucoup (beaucoup !) amendée ; chaque mot a été pesé, et pesé à nouveau. Ça perd sans doute en spontanéité, mais je pense qu'il était important pour elle, à l'heure d'une réorientation cardinale hyper personnelle, d'exprimer sa pensée au plus juste.Meor a écrit :Du reste j'ai aussi trouvé l'interview très écrite (ça ne m'a pas dérangée) mais j'imagine que c'est du au fait qu'elle est justement retravaillée ?
- Lucie Chenu
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Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Olivier Girard a écrit :Oui, l'entretien a été beaucoup retravaillé. Sabrina s'est beaucoup (beaucoup !) amendée ; chaque mot a été pesé, et pesé à nouveau. Ça perd sans doute en spontanéité, mais je pense qu'il était important pour elle, à l'heure d'une réorientation cardinale hyper personnelle, d'exprimer sa pensée au plus juste.Meor a écrit :Du reste j'ai aussi trouvé l'interview très écrite (ça ne m'a pas dérangée) mais j'imagine que c'est du au fait qu'elle est justement retravaillée ?
Pour ma part, je trouve les interviews très écrites souvent bien plus intéressantes à lire, et celle-ci tout particulièrement.
J'ai aussi eu du mal à comprendre la nouvelle de Sabrina, à la première lecture, alors j'ai lu le dossier, j'ai laissé passer un peu de temps, et je l'ai relue. Et là, paf ! les choses s'étaient mises en place. Les québécismes d'un côté, le pluriel féminin (qui m'a rappelé L'École des soignantes de Martin Winckler) de l'autre, j'ai cessé de chercher à comprendre à toute force et l'histoire était là. Il me fallait juste lâcher prise.
Je n'ai pas encore lu le reste.
- Lucie Chenu
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Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Ah, et la couverture est splendide, mais ça, j'ai déjà eu l'occasion de le dire (peut-être pas ici)
Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Erwann a écrit :[...] mais vous avez vu qu'il y a aussi une novelette de Daryl Gregory au sommaire ? ;-)
Oui ! Je !
Et ça m'a interpellé parce qu'aucun des sujets des romans du monsieur ne m'a attiré jusqu'ici.
Sauf que cette nouvelle m'a donné l'impression de comprendre que, sauf erreur de ma part,
Daryl Gregory s'intéresse moultement à l'humain même s'il fait semblant de parler d'autre chose.
Je reviens (ou pas) dès que j'ai relu...
- FeydRautha
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Re: Bifrost n° 97 : spécial Sabrina Calvo (janvier 2020)
Oui, c'est étrange que personne n'en parle. Il est très bien ce texte.
"Scientifiquement, c'est un immense bordel la réalité."
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