Bifrost n° 91 : spécial fictions (juillet 2018)

[Erwann]

Le numéro 91 de Bifrost paraîtra le 12 juillet 2018. Au sommaire, pas de dossier pour une fois mais le plein de fictions ! Cent quarante pages pour six nouvelles, signées Jean Baret, Olivier Caruso, Carolyn Ives Gilman, Léo Henry, Ken Liu et Michel Pagel.
Et bien sûr, les rubriques habituelles : une masse de critiques, le coin des revues, une interview d'éditeurs (nos amis de L'Arbre vengeur ce trimestre), un article signé Xavier Mauméjean sur les sorcières en littérature, et le bon professeur Lehoucq qui nous amène sur la Lune.

[Erwann]

Voici la couverture, signée Manchu :

[Lorhkan]

Bah voilà, il y a des auteurs français finalement ! ;)

[Aldaran]

Wouha ! La couve !
Fabuleuse !

[Erwann]

Bah voilà, il y a des auteurs français finalement ! ;)

C'est le numéro 92 qui tranchera mais pour l'instant, sur les trois Bifrost parus jusqu'à présent en 2018, il y a équilibre entre les textes d'auteurs francophones et ceux d'auteurs anglophones : 7 partout.

[W]

Très enthousiasmant !

[M]

Un numéro à renouveler. Les dossiers c est chouette mais pleins de nouvelles c est super chouette.

[Erwann]

Un numéro à renouveler. Les dossiers c est chouette mais pleins de nouvelles c est super chouette.

On verra bien. Mais, effectivement, on songe à éventuellement réitérer, d'autant que les lecteurs semblent préférer le nombre de nouvelles à leur longueur (un numéro comme le 86, avec une brève nouvelle et une novella, ça reste un numéro avec rien que 2 textes).

[Olivier Girard]

Oui, comme le dit Erwann, on verra à l'avenir. Ce numéro ne présente que six nouvelles. Mais dont quelques textes très longs. Au total, on est environ sur 300 000 signes de fictions inédites. Soit plus du double que sur un numéro habituel. Ce Bifrost fait 196 pages (4 de plus qu'en général). Et s'articule sur 2/3 de fictions contre 1/3 de magazine (et pas de dossier, donc). Après, c'est aussi une question d'équilibre financier. Les nouvelles, ça coûte plus cher à la revue, même si ce n'est pas l'argument principal (c'est par ailleurs moins de boulot pour nous qu'un dossier). Quoiqu'il en soit, on verra le ressenti des lecteurs. Mais il n'est pas impossible, en effet, qu'on s'autorise ça de temps en temps, sans en faire un principe pour autant...

[Mannaz Laguz]

Une interview de "nos amis de l'Arbre vengeur". Dis-moi, Erwann, que cette amitié ne va pas jusqu'à l'approbation du mauvais coup qu'a infligé cet éditeur aux lecteurs fidèles de la série l'Autofictif, d'Eric Chevillard, en ne publiant sa dixième année qu'au sein d'un gros volume regroupant les neuf précédentes - et accessoirement en ne répondant pas aux messages à ce sujet d'un lecteur amer.