Le problème des romans Bibliothèque Interdite est qu’il faut avant tout connaître l’univers très dense (plus de 30 ans d’existence) ce qui fait que nous devons parfois sacrifier à la qualité la maîtrise du monde.
Ça me fait penser à ces "auteurs" sur les forums qui demandent parfois : "Si j'ai une idée de roman vraiment bien, est-ce que c'est grave si ce n'est pas tout à fait écrit en bon français ?"
Là, c'est comme si la seule chose qui comptait, c'était que les lecteurs retrouvent le monde (entendons par là, la licence des jeux), et tant pis si la qualité littéraire n'est pas au rendez-vous (ou si on la massacre un peu plus avec une traduction à la hache).
Du coup, ça relativise ce que peuvent être de "bons" livres si on se fie seulement à leur nombre d'acheteurs potentiels.