La loi des séries en ce moment...Apophis a écrit :Le sens de sa remarque est que le nom de famille de notre illustre précurseur de la SF moderne est Verne, sans "s"
Hé HéPierre-Paul Durastanti a écrit : Ce que je regrette, c'est que l'éditeur ne prend pas toujours la peine d'expliquer sa démarche en quelques pages dans le livre.
Alors là, mon cher, tu es en pleine science-fiction. ;)
C'est pas faux. Le problème de la démocratie, on n'écoute que la majorité...Aldaran a écrit :D'autant plus que, si j'ai bien compris, les lecteurs évitent souvent les préfaces.
Pour ma part, je les lis après ma lecture, de nombreuses préfaces adorant souvent divulguer l'intrigue
Je veux bien les références si tu les retrouves car cela répond bien à mon interrogation.PhilB a écrit :Sur la question de la note de bas de page, j'aime bien citer Jean-Patrick Manchette qui parlait de "la honteuse flétrissure du traducteur en déroute". Dans un essai j'en veux bien 30 par pages, dans une fiction ça me semble être à proscrire absolument, que ce soit pour remettre dans le contexte de l'époque, ou du pays, de la société, ou de quoi que ce soit.
Si ça t'intéresse, je dois pouvoir retrouver le passage où Manchette développe l'idée et prend l'exemple d'une scène où il a remplacé le nom d'un personnage célèbre par un autre plutôt que d'avoir recours à une note de bas de page.
Je pense qu'il faut trouver un juste équilibre et je pars du principe que celui qui veut les lire le fasse et les autres passent leur chemin.
Je ne peux qu'approuver*Pyjam a écrit :Pour moi, la plus chiante* des notes de bas de page :
*: En français dans le texte. (NdT)
*: En français dans le texte. (NdT)