Lucie Chenu a écrit :Oui, tu as raison, supprime mon post, si tu veux...
(ok, faut que je prenne des cours d'anglais ;-) )
Ah toi non ! Au moins, tu discutes et tu lis les réponses. :)
Lucie Chenu a écrit :Oui, tu as raison, supprime mon post, si tu veux...
(ok, faut que je prenne des cours d'anglais ;-) )
Shibia a écrit :Lucie Chenu a écrit :Oui, tu as raison, supprime mon post, si tu veux...
(ok, faut que je prenne des cours d'anglais ;-) )
Ah toi non ! Au moins, tu discutes et tu lis les réponses. :)
Lucie Chenu a écrit :visiblement, tu parles de discussions sur le forum. Il me semblait que @Shibia parlait de code de conduite en salons et festivals...
Lucie Chenu a écrit :1°) Si des femmes estiment souhaitables qu'il y ait un code de conduite clair lors des salons et festivals, concernant le harcèlement sexuel, comment peux-tu dire "il me semble que le problème est moins l'établissement d'un "code de conduite"..."
Lucie Chenu a écrit : "... déterminer qui est fondé à décider s'il a ou non été violé". Pardon ? C'est pas clair, là. Certaines personnes seraient-elles moins fiables que d'autres, et dans ce cas, leur parole aurait-elle moins de valeur, si ou lorsqu'elle disent avoir été violées ?
Est-ce que tu te rends compte de ce que tu écris ?
Qu'entends-tu, dans le cas précis du harcèlement sexuel en salon littéraire, par "incidents de frontière" ?
Est-ce que c'est "il y a toujours eu des mains aux fesses, on va pas s'embêter pour ça" ?
Et enfin, quels sont les "arbitres impartiaux" que tu veux trouver ??? Et qu'auraient-ils à juger ? Est-ce que tu considères que lorsqu'une femme est harcelée et met en accusation son agresseur, ça n'est, au fond, qu'un match entre deux parties égales ?
Et toi, quelle partie vas-tu encourager, lors de ce match ?
Caliban a écrit :Lucie Chenu a écrit :visiblement, tu parles de discussions sur le forum. Il me semblait que @Shibia parlait de code de conduite en salons et festivals...
Non, on parle bien de la même chose, il me semble.Lucie Chenu a écrit :1°) Si des femmes estiment souhaitables qu'il y ait un code de conduite clair lors des salons et festivals, concernant le harcèlement sexuel, comment peux-tu dire "il me semble que le problème est moins l'établissement d'un "code de conduite"..."
Dans mon expérience, établir un code de conduite est rarement très difficile, sauf dans un environnement déjà conflictuel. A ma connaissance, lorsqu'une convention, un salon ou un festival a souhaité le faire, ça n'a jamais posé de problème particulier.
Lucie Chenu a écrit : "... déterminer qui est fondé à décider s'il a ou non été violé". Pardon ? C'est pas clair, là. Certaines personnes seraient-elles moins fiables que d'autres, et dans ce cas, leur parole aurait-elle moins de valeur, si ou lorsqu'elle disent avoir été violées ?
Est-ce que tu te rends compte de ce que tu écris ?
Excuse-moi, je n'ai apparemment pas été suffisamment clair. Je voulais bien sûr dire :
Il me semble que le problème est (plutôt) de déterminer qui est fondé à décider si ce code a ou non été violé.
Qu'entends-tu, dans le cas précis du harcèlement sexuel en salon littéraire, par "incidents de frontière" ?
Quelle que soit la norme de comportement que l'on se donne, il y aura toujours des comportements-limite.
Si un code de conduite précisait par exemple qu'on ne peut pas s'approcher de quelqu'un à moins de 50 cm sans son consentement, que ferait-on lorsqu'une personne s'estimerait agressée parce qu'une autre est venue à plusieurs reprises à 49,5 cm d'elle, l'autre se considérant dans son bon droit parce que, dans son estimation, elle était à 50,5 cm ?
On aura beau considérer que le bon sens est la chose du monde la mieux partagée, ce n'est pas vraiment mon expérience en ces matières.Est-ce que c'est "il y a toujours eu des mains aux fesses, on va pas s'embêter pour ça" ?
Pour le coup, il me semble qu'on est là suffisamment loin des limites énoncées par n'importe quel code de conduite raisonnable (qui tourneraient plus probablement autour de "éviter de toucher autrui sans son consentement") pour que la question ne se pose pas vraiment.
Et enfin, quels sont les "arbitres impartiaux" que tu veux trouver ??? Et qu'auraient-ils à juger ? Est-ce que tu considères que lorsqu'une femme est harcelée et met en accusation son agresseur, ça n'est, au fond, qu'un match entre deux parties égales ?
Tu es en pleine pétition de principe. Si tu pars de l'hypothèse qu'il y a une victime et un agresseur bien identifiés, la situation n'a évidemment rien de symétrique. Mais les choses sont généralement moins claires. On aura plus souvent une personne qui se considère comme harcelée mettant en accusation quelqu'un qui considère ne jamais l'avoir agressée, voire deux témoignages contradictoires et irréconciliables sur le même incident.
Et toi, quelle partie vas-tu encourager, lors de ce match ?
A priori celle de la vérité factuelle et celle de la neutralité objective et du respect de la loi, ou du "code" en vigueur, contre celle des procès d'intentions et de la partialité sexiste.
Lucie Chenu a écrit : Nous ne sommes ni la police ni la justice. En l'état des choses, je crois les victimes qui prennent la parole. (J'ai de bonnes raisons pour cela, mais je n'ai pas à en parler publiquement, ni même en privé, d'ailleurs.)
Sur cette partie-là, je crois qu'on ne met pas du tout les mêmes choses derrière les mots, qu'on n'a pas du tout le même vécu, les mêmes expériences, etc. Du coup, la vérité factuelle, c'est quoi ?
Caliban a écrit :Qu'est-ce que la vérité ? Vieille question. Qui débouche traditionnellement sur la suivante : peut-on s'en laver les mains ?
Caliban a écrit :Cela dit, à ma connaissance (quelqu'un a d'autres infos ?), la seule plainte déposée en justice dans cette affaire est une plainte en diffamation émanant de Marsan lui-même.
Stéphane Marsan a écrit :Je me réserve le droit d’intenter toute action à l’encontre de toute personne me portant directement ou indirectement atteinte afin de faire valoir mes droits par le biais de mes avocats.
Aldaran a écrit : À ce propos, en effet, est-ce que quelqu'un a de nouvelles informations ? Elle a été réellement déposée, cette plainte ?
Le 30 septembre 2020, j’ai déposé une plainte avec constitution de partie civile du chef de diffamation à la suite de la publication d’un article extrêmement contestable sur le site internet de Francetvinfo concernant l’édition française et ne donnant pas mon nom, mais aux allusions plus que contestables et erronées.
Je me réserve le droit d’intenter toute action à l’encontre de toute personne me portant directement ou indirectement atteinte afin de faire valoir mes droits par le biais de mes avocats.
Lhisbei a écrit :Soyons précis.
Dans son droit de réponse (via cabinet d'avocats Pierrat & Associés) à la tribune d'Adrien Tomas sur Actualitté du 04/05 (dans les commentaires)Le 30 septembre 2020, j’ai déposé une plainte avec constitution de partie civile du chef de diffamation à la suite de la publication d’un article extrêmement contestable sur le site internet de Francetvinfo concernant l’édition française et ne donnant pas mon nom, mais aux allusions plus que contestables et erronées.
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