Les Buveurs d'âmes (Elric), de Moorcock et Colin

[JDB]

JDB en critique bifrostien ? Mais bien sûr !
Contacte-moi en MP ; je te donnes la marche à suivre pour accéder à notre forum boulot.

Bôôh, finalement, non. Tout ce que je voulais, c'était manifester ma colère de façon ponctuelle. C'est fait, on n'en parle plus.
Pis j'ai trop de boulot.
JDB

[nolive]

Qui parlait de dégonflé ?

;o)

[JDB]

Qui parlait de dégonflé ?

;o)

Devant un boulot que je n'aurai pas le temps de bien faire, sans complexe !
Comme je n'ai pas pris de notes en lisant le bouquin, il me faudrait le relire (même en diagonale), puis rédiger un résumé (partiel), développer mes arguments, bref rédiger une critique solide.
Et ça me prendrait une bonne demi-journée.
Or, j'ai un Shepard à traduire (entre autres).
JDB

[M]

JDB, je te fais un gigantesque poutou, tu confirmes toutes mes craintes, m'éloignes définitivement de ce bouquin et me fais gagner 20 €.

Idem. Elric a été livre majeur de mon adolescence et je n'avais que des craintes à acheter ce livre.

[nolive]

Eh bien moi, je me suis bien éclaté. J'ai eu 14 le temps de 250 pages, je considère que le contrat est rempli.

Et je crains que les détracteurs n'aient quelque peu idéalisé leurs lectures d'antan. Essayez donc de relire les originaux avec la même sévérité, vous pourriez avoir quelques surprises...

[Bruno78]

Ben, c'est ce que je me suis dit durant tout le bouquin... il n'empêche que je suis aussi déçu, je me suis ennuyé, et ai senti un peu trop souvent qu'on avait affaire à une nouvelle élargie aux dimensions d'un roman. Je serais intéressé de savoir quelle partie du roman correspond à la nouvelle de Moorcock.

[M]

Et je crains que les détracteurs n'aient quelque peu idéalisé leurs lectures d'antan. Essayez donc de relire les originaux avec la même sévérité, vous pourriez avoir quelques surprises...

Ah ça je ne te dirai pas le contraire. Et c'est bien pour ça que je ne les relis pas. J'aurai peur du résultat. Certains Elric sont clairement alimentaires (Moorcock l'a dit lui même) et mon avis maintenant serait beaucoup plus féroce. Je préfère rester sur mes souvenirs d'ado.

[Algernon]

Et je crains que les détracteurs n'aient quelque peu idéalisé leurs lectures d'antan. Essayez donc de relire les originaux avec la même sévérité, vous pourriez avoir quelques surprises...

Oh, mais je les ai eu, ces surprises, il y a quelques mois. J'ai relu les Elric, les récits de Moorcock jeune m'ont sorti les yeux de la tête. Et c'est là mon problème avec l'Elric de Fabrice Colin. Moorcock est devenu un grand auteur de talent. Je veux bien donner sa chance à un Colin qui fait de ce Moorcock-là, pas à un Colin qui fait du Moorcock alimentaire. Je préfère relire les Von Bek, les Cornélius, Gloriana ou mieux, son chef-d’œuvre selon moi, Mother London.

[M]

son chef-d’œuvre selon moi, Mother London.

+ 1

[oman]

Vous êtes assez durs avec ce livre.

J'ai lu (ou relu) toute la saga (les buveurs d'âmes en 5e) et il n'y a pas une grosse différence de qualité entre le roman de Colin/Moorcock et la saga initiale de Moorcock solo (les 4 premiers écrits dans l'ordre de parution). De là à dire que c'est une grosse merde, il y a un gouffre.

Mother London m'est tombé des mains au bout de 50 pages à peine. Je ressaierai peut-être un jour.