Avertissement 1 : la couverture (très classique) ne correspond pas du tout selon moi au contenu (un slasher, pour le dire vite, plus de détails dans ma chronique, listée plus bas).
Avertissement 2 : certains blogueurs (parmi lesquels je me suis rangé par prudence) considèrent la préface et la quatrième de couverture du roman comme un spoiler (en raison de la présence intempestive d'un mot que le roman lui-même n'emploie d'ailleurs pas une seule fois).
Je ne reproduis donc que la partie neutre de la quatrième de couverture, et je divise les chroniques sur le bouquin en 2, à vous de voir si vous voulez du (possiblement) spoil ou non. (Je ne suis pas bien sûr que ce soit un vrai spoil, de toute façon l'intérêt du roman n'est pas forcément là pour moi, mais bon).
Critic a écrit :1364, bataille d'Auray, les troupes de Bertrand du Guesclin sont en déroute. Deux chevaliers en fuite s'aventurent à l'intérieur d'un mystérieux château abandonné, où ils vont faire face à la pire des abominations.
Près de 700 ans plus tard, lors d'un séminaire en Bretagne, les employés d'une entreprise de référencement web participent à un escape game dans ce même château. Pour eux aussi, la nuit va virer au cauchemar.
Quelque part derrière les murs sombres, une chose attend, tapie…
Les chroniques sans le mot qui fâche :
* le Chien critique (qui ne s'en prend pas à la couverture pour une fois, incroyable mais vrai ! ^_^) ;
* l'Ours inculte (qui aime ses romans bien saignants) ;
* Weirdaholic (qui parle de la famille grotesque dans le slasher).
(Pourquoi j'ai l'impression que sans les noms des blogs on aurait quand même pu retrouver qui signait la chronique, rien qu'au vu du résumé que j'en donne ? ^_^)
Les chroniques avec le mot qui fâche :
* Au pays des caves trolls (qui considère que l'auteur confirme sa place dans l'imaginaire francophone) ;
* Fantasy à la carte (qui se demande qui est le plus monstrueux du livre).
(J'ai pu en manquer.)