Topic des livres hors-genre

[ubikD]

Toi tu es mûr pour lire Le Chemin des âmes de Joseph Boyden si tu ne l'as pas déjà fait.
J'ai préféré son autre grand roman Dans le grand cercle du monde, mais pour des raisons très personnelles.

Noté ! Les deux.

[Razheem L'insensé]

Orphelin noir dans l'Amérique des années 1960, Elwood Curtis vit chez sa grand-mère à Tallahassee, en Floride. Alors qu'il rêve d'entrer à l'université, il se retrouve à la Nickel Academy, une maison de correction qui inflige des traitements inhumains à ses pensionnaires.

Et donc, premier roman de la Rentrée Littéraire et première claque dans la gueule avec Nickel Boys de Colson Whitehead !

[Shibia]

Tiens pour les amateurs de blues et pour celles et ceux qui veulent découvrir la nouvelle collection de poche du Diable Vauvert, y a Dark was the Night dans cette collection qui oscille entre enquête et fantastique.

[ubikD]

Premier livre de Nick Tosches que je lis. Bon, j'ai sans doute commencé par son opus majeur.

[yogo]

Le 23 Août prochain paraîtra le premier roman d'Alexandra Koszelyk aux éditions Aux Forge de Vulcain, qui m'a globalement laissé un bon sentiment malgré un style parfois un peu forcé.
Ceux qui veulent prolonger l'expérience de la série Chernobyl devraient beaucoup aimer.

Je vais faire le chemin inverse, je n'ai pas encore vu la série mais j'ai beaucoup aimé ce roman.

[Razheem L'insensé]

Le 23 Août prochain paraîtra le premier roman d'Alexandra Koszelyk aux éditions Aux Forge de Vulcain, qui m'a globalement laissé un bon sentiment malgré un style parfois un peu forcé.
Ceux qui veulent prolonger l'expérience de la série Chernobyl devraient beaucoup aimer.

Je vais faire le chemin inverse, je n'ai pas encore vu la série mais j'ai beaucoup aimé ce roman.

Et tu peux ajouter l'indispensable La Supplication de Svetlana Alexievitch.

[Shibia]

A la limite entre le genre et le hors-genre, je signale La divine proportion de Cécile Saint-Charle avec une utilisation judiciaire d'une interface homme-machine assez glaçante.

[Shibia]

Totalement hors-genre, mais un livre estival rafraîchissant : La commode aux tiroirs de couleurs d'Olivia Ruiz. Ca se lit très bien à l'heure de la sieste ou sur la plage.

[Razheem L'insensé]

Raphaël, devenu adulte, se souvient. Ils avaient seize ans. Lui, Kevin, Ryan, Idriss et les autres : une bande de garçons soudés comme des frères, qui se connaissaient depuis l’enfance – sauf Quentin, dit « Queue-de-rat », débarqué au collège. Le dernier arrivé devient le bouc émissaire. Parce que, quand on est adolescent il faut parfois quelqu’un à rabaisser pour se sentir supérieur. Les journées sont longues dans cette petite ville. On en a vite fait le tour. Leur vie est rythmée par les longues soirées à fumer des joints dans un jardin ouvrier, les petits vols, la voiture empruntée, les rivalités amoureuses, les défis inspirés de vidéos américaines. Ils zonent, s’ennuient, testent leurs limites… jusqu’au drame.

C'est encore une fois chez L'Iconoclaste. C'est encore une tuerie niveau style. Et c'est malheureusement passé un peu inaperçu puisque sorti juste avant le confinement. Avalé en 24h top chrono.

[Razheem L'insensé]

Tout a commencé par un examen.

Devant un jury.

Pendant l’examen
on m’a posé cette question :

Pourquoi voulez-vous être infirmier ?

J’ai réfléchi un moment
puis j’ai dit que c’était le côté pragmatique
terre-à-terre du métier
qui m’intéressait.

Mais au fond de moi je pensais :
je suis comme tout le monde.
Tout ce que je fais
je le fais pour la gloire.

Et je relance d'un mini-livre de poésie avec Sammy Sapin (celui que Erwann a pas aimé chez l'Arbre Vengeur) qui raconte la vie d'infirmier avec un talent et une authenticité rare dans J'essaie de tuer personne.

C'est dispo à la vente ici.