Mage de bataille, Peter A. Flannery

[Erwann]

Le monde brûle, peu à peu conquis par l'armée des Possédés ; seul le pouvoir d'un mage de bataille pourra sauver ce qu'il en reste. Mais le lien qui unissait les mages aux dragons faiblit, de plus en plus de dragons noirs sont invoqués. Les dragons noirs sont fous, ils sont l'ennemi de l'humanité.
Falco Danté est une mauviette dans un monde de guerriers ; pire, il est le fils d'un fou. Dominé par la douleur, Falco prend une décision qui va l'amener aux marges du désespoir : il va suivre ses amis à l'académie militaire, une école d'excellence. Là, il devra surmonter ses doutes, ceux de ses amis et même ceux de la Reine qui s'apprête à unir les Royaumes pour repousser les Possédés.
Falco réussira-t-il à libérer son pouvoir ou succombera-t-il à la folie et au meurtre... comme son père ?

Le premier tome de Mage de bataille, roman de Peter A. Flannery traduit de l'anglais par Patrice Louinet, sortira le 26 septembre chez Albin Michel Imaginaire.
La fiche du livre.

[Lutin]

je l'ai terminé, et ce roman peut effectivement plaire à de nombreux amateurs de SFFF. Pour le lecteur de blanche, j'ai de gros doutes, car entre les dragons, les monstres et la magie, cela fait beaucoup d'incartades à la réalité, mais comme ce n'est pas le public cible...

Pour les lecteurs particulièrement voraces de fantasy, je suis un chouïa plus mesurée. Ceci dit, les influences et les clins d'oeil étant assez nombreux, cela peut aussi être un jeu en soi.
AUtrement, la comparaison avec Feist tient la route.

[Apophis]

je l'ai terminé, et ce roman peut effectivement plaire à de nombreux amateurs de SFFF. Pour le lecteur de blanche, j'ai de gros doutes, car entre les dragons, les monstres et la magie, cela fait beaucoup d'incartades à la réalité, mais comme ce n'est pas le public cible...

Pour les lecteurs particulièrement voraces de fantasy, je suis un chouïa plus mesurée. Ceci dit, les influences et les clins d'oeil étant assez nombreux, cela peut aussi être un jeu en soi.
AUtrement, la comparaison avec Feist tient la route.

Le public cible, c'est le débutant en Fantasy, donc le type qui vient de la blanche.

Personnellement, j'en suis à 75% (critique à suivre samedi), et pour les lecteurs particulièrement voraces de Fantasy, je serais carrément plus mesuré, tant les clichés éculés surabondent littéralement. Je ne dis pas qu'il est mauvais, je prends même une espèce de plaisir "pervers" à le lire. En fait, il me rappelle la récente trilogie de H. Paul Honsinger chez l'Atalante : sur un plan purement littéraire, c'est plein de défauts, mais si on laisse la partie analytique de son cerveau au vestiaire (ou qu'on est un total débutant en Fantasy), et qu'on vit l'histoire plus qu'on ne la décortique (le style n'a rien de très remarquable, mais ça s'avère étonnamment prenant), ça peut éventuellement le faire. Avec force mouvements de la tête de droite à gauche, mais ça peut le faire quand-même.

[Lutin]

Le public cible, c'est le débutant en Fantasy, donc le type qui vient de la blanche.

Personnellement, j'en suis à 75% (critique à suivre samedi), et pour les lecteurs particulièrement voraces de Fantasy, je serais carrément plus mesuré, tant les clichés éculés surabondent littéralement. Je ne dis pas qu'il est mauvais, je prends même une espèce de plaisir "pervers" à le lire. En fait, il me rappelle la récente trilogie de H. Paul Honsinger chez l'Atalante : sur un plan purement littéraire, c'est plein de défauts, mais si on laisse la partie analytique de son cerveau au vestiaire (ou qu'on est un total débutant en Fantasy), et qu'on vit l'histoire plus qu'on ne la décortique (le style n'a rien de très remarquable, mais ça s'avère étonnamment prenant), ça peut éventuellement le faire. Avec force mouvements de la tête de droite à gauche, mais ça peut le faire quand-même.

Quand je parle du lecteur de littérature blanche, je ne fais allusion pas à celui qui est sans a priori et qui peut basculer dans les univers imaginaires avec un petit coup de pouce. Il s'agit de celui qui a quelques réticences, et ce n'est pas avec un roman qui contient tant d'éléments marqueurs qu'on le fera basculer du côté obscur. :-)

Je ne suis pas étonnée de ton ressenti, nous en avions parlé...

[Apophis]

Ma critique

[Lutin]

ma petite touche perso.


Mage de Bataille

[Lorhkan]

C'est en effet très classique mais ça se laisse lire. :)

[M]

Je rejoins les autres avis. C est cousu de fil blanc, c est classique mais c est un redoutable page turner.

Maintenant même si ça souffre quand même grandement de la comparaison avec Les Jardins de la lune d Erikson pour un lecteur averti, je comprends le choix de Gilles. Celui la peut être mis dans les mains de n importe quel lecteur qui veut s initier à la fantasy.

[Gilles Dumay - Albin Michel Imaginaire]

Un petit concours sur Elbakin.fr
5 exemplaires à gagner.

GD

[Herbefol]

Mon avis sur ce premier volume : plutôt mitigé.