Bifrost n°60 : Spécial Vampires (octobre 2010)

[A.C. de Haenne]

Mon gentil facteur me l'a remis en mains propres ce midi-même. Il est magnifique (mon Bifrost, pas mon facteur...) !

A.C.

[Erwann]

Il est magnifique (mon Bifrost, pas mon facteur...) !

A.C.

Si c'est une jolie factrice, ça peut se discuter…

[W]

Je n'ai toujours pas reçu mon Bifrost 60 spécial vampires !
Je suis très inquiet, pouvez-vous faire quelque chose s'il vous plait ???

[Thomas Day]

Je n'ai toujours pas reçu mon Bifrost 60 spécial vampires !
Je suis très inquiet, pouvez-vous faire quelque chose s'il vous plait ???

Voilà ce qui arrive quand on a Besancenot comme facteur...
On va prier pour toi, c'est à notre portée.

[Gregory Drake]

Je n'ai toujours pas reçu mon Bifrost 60 spécial vampires !
Je suis très inquiet, pouvez-vous faire quelque chose s'il vous plait ???

Voilà ce qui arrive quand on a Besancenot comme facteur...
On va prier pour toi, c'est à notre portée.

Comment ?!? Vous n'avez pas de coursiers-livreurs-de-Bifrost en RP ????

[A.C. de Haenne]

Il est magnifique (mon Bifrost, pas mon facteur...) !

A.C.

Si c'est une jolie factrice, ça peut se discuter…

Oui, je suis d'accord. Mais en l'occurrence, c'est un vieux monsieur avec les cheveux gris...

A.C.

[Nébal]

Je n'ai toujours pas reçu mon Bifrost 60 spécial vampires !
Je suis très inquiet, pouvez-vous faire quelque chose s'il vous plait ???

Oh là là ! J'espère que tu vas le recevoir demain, sinon ça serait vraiment trop dur pour toi !

[Jeff MD97]

^ ça c'est vache. Bien reçu le mien aujourd'hui.

[Tétard]

Reçu ce matin. Je m'y plongerai après avoir fini la lecture de Cleer.

[scifictif]

Avis plutôt tiédasse sur les autres fictions de ce numéro.

Nuit rouge : l'angle est intéressant mais le sujet n'est qu'effleuré. Dommage.

Desmodus Draculae : de l'exotisme, l'opportunité bien appréciable d'enrichir son vocabulaire et sa culture, quelques zolies tournures ("le visage dont les ombres portées soulignaient les méplats accusés") mais tout ce qui touche à la mythologie (fut-ce t'elle maya) me glisse dessus comme l'eau sur les plumes du serpent (ah non mince, ça c'est aztèque).

Un précis : cet humour british décalé et pince-sans-rire, je suis carrément client.
A noter que le montage de Sylvie Denis illustre idéalement et le fond et la forme du récit.


Dans l'ensemble, ces fictions sont tout de même un bon cran en dessous de celles du n° précédent.
Avis/goût perso of course. Est-il utile de le rappeler ?

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A propos de Cosmos Incorporated, j'avais évoqué un roman sur la science de la fiction, c'est à dire sur la possibilité, ou l'incapacité, de mettre en verbe l'indicible et son contraire l'ineffable.

L'indicible et son contraire (?!) l'ineffable.
Je ne pige pas.
J'ignore si Sam Lermite se ballade par ici mais à défaut, si l'un(e) d'entre vous a saisi, ce serait bien sympa de m'expliquer.