Steampunk, de E.Barillier

[A.C. de Haenne]

J'ai l'immense plaisir de vous annoncer qu'Étienne Barillier a eu la gentillesse de m'accorder une interview aussi longue qu'intéressante sur le blog. Publication de la première partie dès demain.

A.C.

[Ceir]

Chouette, je vais suivre ça !

[A.C. de Haenne]

Léger contre-temps, la première partie arrive très bientôt !

A.C.

[A.C. de Haenne]

C'est dans la boîte !
La première partie est visible, ici...

A.C. de Haenne

[A.C. de Haenne]

La deuxième partie de l'interview, c'est par là...

A.C. de Haenne

[Ceir]

La 3 ! La 3 ! La 3 !

[A.C. de Haenne]

Ce soir, ce soir, ce soir !

A.C.

Heureux que ça plaise en tout cas.

[A.C. de Haenne]

Voici la troisième partie : du steampunk, en veux-tu en voilà !

A.C.

[Ceir]

Ah, Luc Dutour...
Un plaisir simple, inénarrable.
Gras et fin à la fois.

J'ai récupéré le seul Bifrost que mon frère possède avec un Luc Dutour (l'histoire avec Babar). Pour les autres il faudra que je vois dans des magasins d'occaz un des ces quatre.

En tout cas, je trouve que le "gras et fin" correspond tout à fait ! Mais en même temps, il est totalement nécessaire.

Faire un texte entièrement sérieux de Steampunk en intégrant Babar apparaît impossible. Le lecteur ne rentrerait pas dans l'histoire.

C'est le côté blague à 2 balles et humour scato (défense d'y voir/ivoire, par exemple) qui permet d'accepter l'histoire sérieuse de fond (le conflit diplomatique) et le cadre steampunk.

Sans oublier le talent des auteurs, qui dosent avec à propos les blagues et l'humour scato (trop de vannes foireuses tueraient la nouvelle ; pas assez et on trouverait cette histoire avec Babar inintéressante).

[nolive]

C'est certainement plus cher que deux Bifrost d'occase (encore que), mais bon, quand on aime...