Les dossiers dont j'ai rêvé...

[Clément]

Je me suis demandé durant toute la nouvelle où j'avais déjà pu la lire (sachant que je n'ai pas le Fiction en question), il s'est avéré en fait que je l'avais non pas lu, mais entendu ! Pour les non-anglophones, donc, la nouvelle est aussi disponible ici, en audio :
http://www.utopod.com/2008/10/15/utopod ... -sterling/

[Nébal]

Yep, c'est ça ! Un petit bijou, en ce qui me concerne.

[scifictif]

Un petit bijou, en ce qui me concerne.

Pareil, évidemment.


Prenez cette nouvelle de Chiang, ajoutez une pincée de mécanique quantique (réduction du paquet d'ondes) et vous obtenez la cuve d'Egan (merci les Quarante-Deux !).

[John Shooter]

Merci à rmd et Clément pour les liens.
Excellent..! (mais ça ne démontre pas l'illusion du libre-arbitre..! Na!)

[Lutin]

Merci à rmd et Clément pour les liens.
Excellent..! (mais ça ne démontre pas l'illusion du libre-arbitre..! Na!)

+ 1, j'y cours.


Quand à la distinction Bien/Mal comme pilier de la fantasy, c'est marrant - enfin non, c'est nul - je n'avais jamais fait attention. Faut dire que quand c'est trop manichéen, ça une tendance grave à me saouler.

[marypop]

N'empêche que si les chrétiens n'y étaient pas allés de leur cycle du Graal, il n'y aurait pas eu de Fantasy. Et ne je parle même pas de l'implication personnelle de Tolkien et de Lewis, nuancée pour le premier, évidente pour le second. Sous des habits parfois païens (pas nouveau, les jésuites n'ont pas hésité à s'habiller en bonze pour favoriser leur apostolat en Orient) la fantasy continue de véhiculer dans les esprits la distinction franche entre Bien / Mal ou Ordre / Chaos, et en cela prolonge l'enseignement chrétien. De temps en temps, certaines autorités désapprouvent pour la forme, mais le but est atteint. La fantasy est une infusion discrète mais sûre des valeurs chrétiennes dans l'esprit des lecteurs.

Heureusement il y a Moorcock, Moooorcock ! (à chantonner sur l'air Findus).

[Xavier Maumejean]

N'empêche que si les chrétiens n'y étaient pas allés de leur cycle du Graal, il n'y aurait pas eu de Fantasy. Et ne je parle même pas de l'implication personnelle de Tolkien et de Lewis, nuancée pour le premier, évidente pour le second. Sous des habits parfois païens (pas nouveau, les jésuites n'ont pas hésité à s'habiller en bonze pour favoriser leur apostolat en Orient) la fantasy continue de véhiculer dans les esprits la distinction franche entre Bien / Mal ou Ordre / Chaos, et en cela prolonge l'enseignement chrétien. De temps en temps, certaines autorités désapprouvent pour la forme, mais le but est atteint. La fantasy est une infusion discrète mais sûre des valeurs chrétiennes dans l'esprit des lecteurs.

Heureusement il y a Moorcock, Moooorcock ! (à chantonner sur l'air Findus).

Au contraire, dans le genre Satan de Milton, il n'y a pas mieux que notre prince Albinos...

[Ceir]

Et Lovecraft, avec ses mythes, il est plutôt dégagé de cette distinction non ?

[Nébal]

Hou-là, attention ! Cas dangereux !

[marypop]

N'empêche que si les chrétiens n'y étaient pas allés de leur cycle du Graal, il n'y aurait pas eu de Fantasy. Et ne je parle même pas de l'implication personnelle de Tolkien et de Lewis, nuancée pour le premier, évidente pour le second. Sous des habits parfois païens (pas nouveau, les jésuites n'ont pas hésité à s'habiller en bonze pour favoriser leur apostolat en Orient) la fantasy continue de véhiculer dans les esprits la distinction franche entre Bien / Mal ou Ordre / Chaos, et en cela prolonge l'enseignement chrétien. De temps en temps, certaines autorités désapprouvent pour la forme, mais le but est atteint. La fantasy est une infusion discrète mais sûre des valeurs chrétiennes dans l'esprit des lecteurs.

Heureusement il y a Moorcock, Moooorcock ! (à chantonner sur l'air Findus).

Au contraire, dans le genre Satan de Milton, il n'y a pas mieux que notre prince Albinos...

Je pensais plutôt à mon préféré, Hawkmoon qui n'est pas vraiment très Ordre même si.