Olivier Girard a écrit :Bankgreen est donc un univers ô combien dangereux, mais tellement fascinant. Une chose est sûre : il est sans concession, à l’image de ce que nous propose son auteur, et il ne faudra donc pas compter sur lui pour se rendre plus accessible. Au lecteur de faire l’effort de se confronter à cette aventure capable de le perdre, de l’égarer au détour d’un sentier de cendres, une aventure aussi gratifiante que frustrante par endroits.
De fait, si souvent on ne trouve plus ni le temps ni l’envie de relire ou reprendre un livre, Bankgreen supporte largement une deuxième lecture, et pourquoi pas sitôt terminée la première. Une deuxième et bien d’autres encore, très certainement…
On ne peut que se féliciter en tout cas de voir Thierry Di Rollo avoir eu envie d’investir la Fantasy. Il signe là l’un des meilleurs romans de ce début d’année.
Voilà, entre autre, ce que dit Gillossen dans sa critique de Bankgreen sur Elbakin. Un très bon papier.
Merci, mon Olivier. Je l'ai ajouté dans la liste des chroniques que je juge pertinentes, sur mon site. Les quelques autres passent à côté du roman, en bien ou en mal, d'ailleurs.
Et c'est vrai que le papier de Gillossen fait très chaud au coeur.