Pirates of the Caribbean 4 : On Stranger Tides

[Gregory Drake]

Mais râler pour quoi au juste ?

Arrête de troller, ça me fout le cafard.

[Don Lo]

Au fait, quelqu'un l'a vu ?
Mes kids ont beaucoup aimé, perso je continue à préférer le 1er, bien plus drôle, et surtout : ne le voyez pas en 3D !
J'ai enlevé les lunettes dès le début, pour constater que les 3/4 des plans étaient filmés à plat. A part quelques effets en gros plans, pas de 3D... Arnaque.

[A.C. de Haenne]

Ah bon, la 3D est une arnaque ?

A.C.

[M]

Vu aussi. Il est bien meilleur que le dernier. Pour ma part, je garde un gros faible pour le 2ème épisode.

La 3D est effectivement inutile. Mais j'ai pas le choix de garder les lunettes. En VO 3D, les sous titres sont incrustés "vers l'avant". Du coup sans les lunettes c'est flou. Mais la 3D est hautement dispensable sur ce genre de film.

[JDB]

A propos de 3D, un article de Roger Ebert (un peu le "Monsieur Cinéma" US et un vieux fan de SF) assez édifiant sur la catastrophe que ça représente :
https://blogs.suntimes.com/ebert/2011/05 ... light.html
JDB

[rmd]

Vu hier, le scénar est vraiment léger, une partie des scènes d'action sont gratuites, limite chiantes, bref, pas convaincu du tout. J'aurai mieux fait d'aller voir x-men.

[Algernon]

Vu.

(nombreux spoilers)

Le début est chiant. Tout le passage à Londres est à jeter, scénario poussif, scènes d'action inutiles et inintéressantes (la poursuite dans les rues de Londres m'a rappelé le début du Retour de la Momie et ce n'est pas un compliment).

Regain d'intérêt avec l'arrivé de Barbe noire, un Ian McShane pataud, décevant, et pas assez diabolique à mon goût, mais j'ai bien aimé l'idée des bateaux piégées en bouteille.

L'après-chasse à la sirène m'a bien plu également. Le phare sous la pluie, le bateau anglais dans la tourmente, les cris des marins attaqués... Une bien jolie scène.

Le reste du film est plaisant, sans plus. Je ne vois pas l'utilité d'avoir mis des zombies, les espagnols sont sous-exploités et passent au final pour des fanatiques religieux, l'amour entre la sirène et le pasteur est amené maladroitement, le coup des revolvers manque cruellement d'originalité.

J'avais noté quelques défaillances dans le scénario mais elles ne m'ont pas assez marqué pour que je m'en rappelle maintenant.

De nombreuses choses restent en suspens, on voit vraiment la volonté d'ouvrir la voie à une suite : le pasteur emporté par la sirène, Sparrow partant avec les bouteilles, Barbossa prenant la route de Tortuga aux commandes du Queen Ann's Revenge, Angelica qui ramasse la poupée de Sparrow... pas la peine d'un to be continued pour comprendre.

Cette suite n'était peut-être pas nécessaire mais le plaisir de retrouver Johnny Depp et Geoffrey Rush est là. Je ne me plaindrai donc pas. Et je regarderai le 5 quand ils l'auront fait.

[Ceir]

Tout pareil. Je rajouterai que c'est dommage aussi de trop centrer sur Sparrow/Depp. C'est un peu comme ses séries où il y a un personnage incontournable (Sheldon dans Big Bang Theory par exemple), et en même temps si tu ne faisais une série que sur lui ça ne marcherait pas bien.

[drimchal]

Pour ma part, je l'avais aussi trouvé un peu... plat.

Déjà, pour la partie "aventure", on reste sur sa faim vu que tout le monde a l'air d'avoir son GPS pour la fontaine de jouvence.
Quand au méchant, absolument aucun charisme. Autant ceux des 3 premiers avaient un background, une histoire, autant là barbe noire est là juste pour faire histoire de. Bon, il a un joli sabre, 2 jolis zombis, mais à part ça... (et pour ce qu'il s'en sert...)
Du coup, le film tourne essentiellement autour du cabotinage entre Depp et Cruz, et même si cela se laisse regarder, c'est pas suffisant pour porter tout le film.
Et que dire de la pire réplique que j'ai entendu ces derniers temps: "elle a un nom! Elle s'appelle... Syrena!". Là, même dans une salle de cinéma, même plongé dans l'histoire, le cerveau ne peut pas s'empêcher de faire "pause" et de se demander ce que le scénariste avait fumé à ce moment-là.

En fait, en y réfléchissant, les meilleurs passages sont entre Sparrow et Barbarossa, c'est la seule relation qui amène des dialogues pétillants.