Si chacune des nouvelles obéit à des formes variées et propose des thématiques différentes, l’impression générale, quand on referme le volume, est celle d’une cohérence totale et d’une progression subtilement construite. Mais surtout, on acquiert la certitude de tenir entre les mains un auteur immense, dont la puissance d’imagination et la qualité d’écriture (il convient de noter l’excellente traduction de Jean-Daniel Brèque) situent Lucius Shepard parmi les plus grands auteurs de sa génération.
Un avis à lire sur :
http://www.versatile-mag.fr/2011/12/le- ... le-belial/