On le croyait disparu des écrans radar, perdu à jamais dans les tréfonds de l’espace, en orbite autour de Jupiler. Lorsque soudain… il revint ! Notre chroniqueur cosmique, Philippe Boulier est de retour aux commandes de sa station spatiale russe abandonnée, pour la deuxième saison de la Bibliothèque Orbitale. Au programme de ce premier épisode, deux auteurs effectuant un retour inattendu en librairie : Christian Léourier, déjà à l’honneur dans le numéro 65 de Bifrost, ainsi que Jean-Louis Le May. Sans oublier Pitou…
On retrouve l'ami Philou par ici !
Dans sa station spatiale russe désaffectée, Philippe Boulier n’a pas grand-chose à faire sinon lire et picoler. Et boire et bouquiner. S’imbiber de mots et de gnôle. Bref, afin de célébrer ses premières cuites de l’année, notre ami et chroniqueur s’est intéressé dans son podcast à deux premiers romans : AD Noctum de Pierre Portrait et Ludovic Lamarque, ainsi que Et pour quelques gigahertz de plus… d’Ophélie Bruneau. Sans oublier Pitou. 
La livraison du dernier vaisseau Soyouz a été plutôt généreuse envers Philippe Boulier : sa station spatiale russe abandonnée s’est retrouvée alimentée en entre-deux-mers ainsi qu’en romans tout droit sortis du rayon jeunesse — y a pas d’âge pour boire ni pour lire. C’est donc en sirotant du bordeaux que notre infortuné chroniqueur de l’espace a lu pour son podcast Little Brother de Cory Doctorow, Black Rain de Chris Debien et Des yeux dans le ciel de Jean-Marc Ligny.
Cette semaine, Philippe Boulier est en forme. Promis, c’est vrai. Qu’on en juge : capable d’écluser trois bouteilles de Riesling avant le déjeuner, il a également dévoré côté livres 
Cette semaine, la station spatiale russe abandonnée de Philippe Boulier survole non pas la Terre, mais le continent de Westeros. Dans sa cabine en orbite folle, une bouteille de Chardonnay en main, notre ami et chroniqueur a en effet regardé pour son podcast la première saison de l’adaptation TV du 
Dans l’espace, personne ne vous voit vous taper la honte à lire ou regarder des trucs inavouables devant lesquels toute personne de bon goût fuirait à toutes jambes. Mais, dans sa station spatiale russe abandonnée, Philippe Boulier s’en fiche. Personne ne l’a vu s’empiffrer d’œufs de chocolat fourrés au schnaps, ni lire 
Coincé comme il est dans sa station spatiale russe abandonnée, superbe isoloir cosmique, Philippe Boulier n’a donc pas pu voter, ni lire les professions de foi des candidats. Qu’à cela ne tienne, notre ami et chroniqueur s’est rabattu sur un autre genre de littérature, et s’est ainsi plongé dans la lecture des deux nouveautés de Thomas Day : le recueil