Lo G a écrit :@Farfadet : la réponse à votre remarque dans les deux derniers chapitres du roman !
Lo G.
Farfadet a écrit :Très bon livre. La mosaïque de points de vus donnent une image de la société très intéressante. Je trouve indispensable de le lire avec Aliens Mode d'emploi. Les deux sont vraiment complémentaires.
Le genre humain en prend pour son grade. La critique est plus ou moins explicite mais ça fait fonctionner les neurones et c'est pas désagréable du tout.
Par moment (dans certaines thématiques) j'ai repensé à Planètes à Louer de Yoss.Lo G a écrit :@Farfadet : la réponse à votre remarque dans les deux derniers chapitres du roman !
Lo G.
Je maintiens mon "reproche". J'aurais ouvert le livre avec Ariadne.
Mais c'est peut être parce que j'ai lu Alien Mode d'emploi avant.
Lo G a écrit :Un certain nombre de bêta-lecteurs ont une perception assez noire du roman, mais ce n'est pas l'effet que j'ai recherché. Pour moi, ce n'est pas le genre humain qui est en cause mais souvent un état de fait (économique, politique) qui échappe aux protagonistes. Bien sûr, c'est indissociable, mais au niveau individuel ça change tout. De plus, je suggère que la période couverte est transitoire et qu'à terme, les situations se normaliseront... Ah la la, ces bouquins qui ne font pas ce qu'on leur dit !!!
Lo G.
Lo G a écrit :Sur la remarque sur Ariadne : je persiste à assumer ce choix, mais je m'explique car j'ai hésité lors de la rédaction. C'est avant tout une question de gestion de l'information. Léo présente bien et en peu de mots la situation globale ; placer le passage d'Ariadne avant aurait perdu le lecteur, je pense, car on aurait alors manqué des infos les plus élémentaires pour apprécier ce qui se passe. Mais bon, pour ceux qui y tiennent, il reste toujours les ciseaux et la colle ! ;-)
Farfadet a écrit :Lo G a écrit :Un certain nombre de bêta-lecteurs ont une perception assez noire du roman, mais ce n'est pas l'effet que j'ai recherché. Pour moi, ce n'est pas le genre humain qui est en cause mais souvent un état de fait (économique, politique) qui échappe aux protagonistes. Bien sûr, c'est indissociable, mais au niveau individuel ça change tout. De plus, je suggère que la période couverte est transitoire et qu'à terme, les situations se normaliseront... Ah la la, ces bouquins qui ne font pas ce qu'on leur dit !!!
Lo G.
Je ne ressent pas le livre comme sombre ou pessimiste. Vous avez très bien fait ressortir le fait que les personnages sont pris dans un engrenage qu'il ne contrôle pas. Léo est balloté par une administration militaire dépassée, Camilia subit ce que doit vivre la plupart des gens bossant pour une ONG etc... Ils sont "victimes" de leur situation et subissent les évènements. D'ailleurs quand ils prennent une décision personnelle forte, elle change radicalement leur vie. Cependant, je trouve que tout au long du roman, même si c'est un état de fait de la situation à un instant t, la critique de l'humain est distillée.Lo G a écrit :Sur la remarque sur Ariadne : je persiste à assumer ce choix, mais je m'explique car j'ai hésité lors de la rédaction. C'est avant tout une question de gestion de l'information. Léo présente bien et en peu de mots la situation globale ; placer le passage d'Ariadne avant aurait perdu le lecteur, je pense, car on aurait alors manqué des infos les plus élémentaires pour apprécier ce qui se passe. Mais bon, pour ceux qui y tiennent, il reste toujours les ciseaux et la colle ! ;-)
J'ai lu Alien mode d'emploi en premier. C'est sûrement pour ça que j'aurais préféré un ordre inversé. La situation je la "connaissais". Mais je comprends le choix pour le lecteur ne l'ayant pas lu. Et je respecte d'autant plus le choix de l'écrivain qui accepte de discuter de celui-ci (aussi parce que je serais incapable d'écrire le moindre roman). C'est toujours agréable de pouvoir échanger son ressenti avec l'auteur.
Au final, Points Chauds part d’une excellente base mais ne parvient pas pour autant à se renouveler après « Rempart ». Une petite déception sur la forme, donc, qui ne doit pas éclipser pour autant la richesse du bestiaire alien et de la métaphore politique de cet univers.
Erwannn a écrit :Au final, Points Chauds part d’une excellente base mais ne parvient pas pour autant à se renouveler après « Rempart ». Une petite déception sur la forme, donc, qui ne doit pas éclipser pour autant la richesse du bestiaire alien et de la métaphore politique de cet univers.
C'est l'avis de Traqueur stellaire.
Retourner vers « Les livres du Bélial' »
