Zendegi, de Greg Egan (mars 2012)

[Aldaran]

Perso, ça fait 28 ans que Télérama incarne, personnifie l'ennemi héréditaire de tout ce que j'aime: musique, cinéma, littérature...

Un peu le même avis, même si "ennemi héréditaire" me paraît trop fort.
Néanmoins, je suis assez content de voir Zendegi passer sous les yeux de nombreux lecteurs. Une critique d'un bouquin de SF dans Télérama, personne ici ne s'attend à la voir bonne. Mais on peut toujours espérer qu'il y aura des retombées pour l'éditeur et le genre.
On déplore tellement que "les autres" ne lisent et ne parlent pas de "nos" bouquins qu'il est tout de même dommage de leur tomber dessus comme des sauvages quand l'exception se présente, non ?

[John Shooter]

Un peu le même avis, même si "ennemi héréditaire" me paraît trop fort.

Oui, je sais, je suis excessif - et souvent sanguin dans mes réactions, tous mes proches le savent! - mais à mon age on ne me changera plus!
Et puis dès qu'on attaque mes auteurs préférés, je mords d'abord, je réfléchis ensuite.
;)
Après, c'est vrai qu'Egan n'est pas forcément l'auteur grand public par excellence..!!!
Là, je fais la promotion de Laurent Genefort autour de moi; j'avoue que j'aurais plus de mal avec Zendegi qu'avec Points Chauds ou avec Aliens, mode d'emploi...

[Erwann]

L'avis de Fabienne Leloup.

[Erwann]

Une fresque vertigineuse à la hauteur des enjeux de l'actualité internationale et de l'essor incontrôlé des nouvelles technologies.

Zendegi est dans la sélection SF du magazine L'Amour des livres, spécial poches & policiers 2012.

[Erwann]

Egan maîtrise parfaitement les aspects multiples de sa problématique et c'était finalement une très bonne idée de partir d'un thriller politique pour aboutir à sa SF chérie, celle que j'ai définie comme "néo-réaliste". La mise en perspective fonctionne. Là où il concède (sans doute volontiers) un manque de maîtrise, c'est dans son entreprise littéraire. L'écriture tente parfois d'être jolie mais c'est parfaitement plat, la structure d'ensemble est bien faite mais sans inspiration particulière, et la tentative diffuse d'amener de l'émotion par l'entremise de la vie dégueulasse de Martin échoue la plupart du temps.

Un autre avis à lire sur Zendegi.

[Olivier Girard]

Egan maîtrise parfaitement les aspects multiples de sa problématique et c'était finalement une très bonne idée de partir d'un thriller politique pour aboutir à sa SF chérie, celle que j'ai définie comme "néo-réaliste". La mise en perspective fonctionne. Là où il concède (sans doute volontiers) un manque de maîtrise, c'est dans son entreprise littéraire. L'écriture tente parfois d'être jolie mais c'est parfaitement plat, la structure d'ensemble est bien faite mais sans inspiration particulière, et la tentative diffuse d'amener de l'émotion par l'entremise de la vie dégueulasse de Martin échoue la plupart du temps.

Un autre avis à lire sur Zendegi.

Un papier particulièrement intéressant, je trouve.

[scifictif]

Un papier particulièrement intéressant, je trouve.

Dans la lignée de ses chroniques impressionnistes publiées dans Fiction.

[Erwann]

Zendegi était dans la Salle 101 du 24/05/2012 (aux alentours de 25').

[Erwann]

La chronique de Zendegi par Gromovar dans le magazine Frontières, aux pages 34-35.
(Et avec une non-photo de l'auteur ! ;-)

[Olivier Girard]

La chronique de Zendegi par Gromovar dans le magazine Frontières, aux pages 34-35.
(Et avec une non-photo de l'auteur ! ;-)

Il s'agit de la même critique (ou peu s'en faut, il me semble), du même Gromovar, publiée sur son propre Blog et référencée en page 8 de la présente discussion...