T. Di R. a écrit :Je parle de 2014, mais pour le moment, c'est le brouillard; rien n'est encore décidé de la part d'Olivier.
Non, la nouvelle écrite pour le 68 décrit un univers complètement différent, totalement halluciné - j'y ai tout lâché; on y suit un sexagénaire flanqué de son grand marabout.
Olivier tenait absolument à avoir quelque chose pour appuyer la sortie d'Elbrön. Je lui avais soumis un texte qui n'a finalement pas été retenu. Dans l'urgence (début septembre), j'ai écrit cette nouvelle (courte - 31 000) en 3 ou 4 jours, je ne sais plus. L'idée m'est venue juste après avoir vu un documentaire sur Arte concernant la ville de Nairobi (on y voit, à un moment, un marabout arpenter une décharge d'ordures au milieu d'Africains venus là pour les mêmes raisons que lui.
Alléchant. Tu sais présenter tes récits. Je n'y pensais pas trop, et maintenant j'ai hâte d'avoir le prochain Bifrost en main. Ta présence au sommaire justifie à elle seule un abonnement.
T. Di R. a écrit :530 000, c'est dans les eaux du premier Bankgreen (500 000), mon Algernon.
Ah, ça c'est excellent. Ni trop long, ni trop court, la longueur de roman que je préfère.
Je profite lâchement de ta gentillesse pour te poser encore une question. Ce prochain roman s'inscrit-il dans une œuvre plus grande, à l'instar de La Tragédie Humaine et du diptyque Bankgreen/Elbrön et envisages-tu déjà de revenir dans cet "univers", plusieurs fois peut-être ? Ou bien penses-tu avoir tout dit et n'y reviendras-tu plus ?