Neithon Nikolazig a écrit :Il faudrait ajouter qu'aujourd'hui (et on en a un exemple assez parlant avec la couverture de Levy), la plupart des romans mainstream qui sortent depuis quelques années ont des titres évoquant des dialogues à demi-effacés. "Ne le dis à personne...", "Pars vite et reviens tard..." etc... etc... Ce sont ces quelques phrases accrocheuses qui veulent vous faire croire que le bouquin à une ambiance, qui soulèvent un mystère à deux balles, mais quand une grande majorité des sorties françaises ont ce genre d'accroche, l'originalité fait place à la mode marketing, assurément.
Et puis, un livre dont le titre n'est pas bien étudié, est souvent mauvais (provoc', jeux de mots, vérité subjective dans la face, longueur...)
Encore deux très bons exemple :
Ne le dis à personne est un (excellent) thriller pur jus de Harlan Coben (donc en aucun cas un livre de littérature générale)
Pars vite et reviens tard est un polar de Fred Vargas (qui a plus de liens que le Coben avec la littérature générale, mais c'est un polar, et il est même facile de prouver qu'il relève de l'imaginaire)
TD