Bifrost n°73 : spécial Lovecraft (janvier 2014)

[M]

Lu Forbach de Thomas Day.
Riche idée cette narration à rebours (sans laquelle tout tombe à plat).

A ceux d'entre vous qui aiguillés par la numérotation des chapitres seraient tentés de les lire de 1 à 8 plutôt que dans l'ordre établi par l'auteur (de 8 à 1), je déconseille vivement de procéder ainsi (vous pouvez, mais en seconde lecture seulement).

Entièrement d'accord. J'ai fait la première lecture avec sa narration d'origine puis dans l'autre sens.
Et bien de 1 à 8 ça tombe à l'eau.

C'est pas la première fois que Thomas Day utilise une narration éclatée ou à rebours. Mais toujours à bon escient. C'est jamais de l’esbroufe.

[scifictif]

Claude Ecken : Une épouvantable odeur de lavande

Récit à la teneur fantastico-science-fictive que j'évalue à 0 %.

Etonné je suis de le trouver dans la "revue des mondes imaginaires".

[M]

Claude Ecken : Une épouvantable odeur de lavande

Récit à la teneur fantastico-science-fictive que j'évalue à 0 %.

Etonné je suis de le trouver dans la "revue des mondes imaginaires".

Mais la nouvelle est bien ? Je m'y attaque bientôt. Tu m'intrigues (dans le mauvais sens malheureusement).

[scifictif]

Mais la nouvelle est bien ?

Non.

[Olivier Girard]

Mais la nouvelle est bien ?

Non.

Si.

[Erwann]

Moralité : lis-la et fais-toi ton avis :-)

[M]

Moralité : lis-la et fais-toi ton avis :-)

La je vois que ça (mon tas de copies diminuent trop lentement). Mais le Boss est-il impartial :-)

[Olivier Girard]

La je vois que ça (mon tas de copies diminuent trop lentement). Mais le Boss est-il impartial :-)

Oui. J'ai choisi de publier ce texte en toute impartialité, car c'est un bon texte.
Sinon, rien à voir, mais y a-t-il quelqu'un d'abonné dans la salle qui n'a pas reçu le numéro 73 ? J'ai l'impression qu'il y a quelques ratés postaux...

[scifictif]

Erwannn a raison évidemment.

Je préciserai simplement que ne me reconnaissant aucune compétence à juger de la qualité d'un texte, par "bon/pas bon", il faut comprendre "j'aime/j'aime pas" (et, dans le cas présent, réponse laconique à ta question Farfadet, pour influencer le moins possible ta lecture).


Juste un truc, que je ne saisis pas, c'est cette phrase extraite du chapeau de présentation de la nouvelle : "Le texte que nous vous proposons ici (...) comme nombre des récits de notre cher Howard, sous des dehors fantastiques, prend finalement des couleurs de science-fiction".
Propos qui me semblent coller parfaitement au texte de Day, mais pour moi, sans rapport apparent avec celui d'Ecken.
(il va sans dire que cette remarque témoigne d'une sincère incompréhension et non d'une provoc' à deux ronds)

[M]

Le texte de Claude Ecken est sympathique. Pour ma part, vite lu mais vite oublié. Il a en écrit des bien meilleurs.

Je poursuis le dossier pour le moment.