Vu dans Locus que Le Passager clandestin avait acheté les droits de la nouvelle de Frank M. Robinson, "Vent d'est, vent d'ouest" ("East Wind, West Wind"), jadis parue dans l'anthologie de Jacques Chambon, Dans la cité future (Casterman, 1979).
JDB
Collection Dyschroniques
Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
"Passablement rincé", qu'il dit.
Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
jdb a écrit :Vu dans Locus que Le Passager clandestin avait acheté les droits de la nouvelle de Frank M. Robinson, "Vent d'est, vent d'ouest" ("East Wind, West Wind"), jadis parue dans l'anthologie de Jacques Chambon, Dans la cité future (Casterman, 1979).
JDB
"Vent d'est, vent d'ouest" est prévu pour mars, avec "Le Pense-bête" de Fritz Leiber.
Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
Voici les couvertures des deux prochains Dyschroniques :
En 1962, Fritz Leiber imagine l'Humanité Assistée par Ordinateur.
En 1972, Franck M. Robinson imagine un monde où la passion automobile l'emporte sur le besoin de respirer.
Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
Erwannn a écrit :Voici les couvertures des deux prochains Dyschroniques.
Des deux derniers, veux-tu dire, je les ai vus à Scylla samedi dernier. Et je me suis bien évidemment précipité sur le Leiber, que je n'avais pas lu depuis longtemps, mais qui est éminemment prophétique.
- Thomas Day
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Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
J'avais pas noté la faute d'orthographe quand j'ai vu le bouquin, la faute a peut-être été corrigée sur le livre...
- Olivier Girard
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Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
Non, malheureusement pas...Bruno a écrit :J'avais pas noté la faute d'orthographe quand j'ai vu le bouquin, la faute a peut-être été corrigée sur le livre...
Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
Le Passager clandestin annonce pour octobre la parution de deux nouveaux titres dans la collection Dyschroniques :
Nous mourons nus, James Blish
En 1969, Arthur C. Clarke, prestigieux nom de la science-fiction américaine (2001 : l’odyssée de l’espace), propose à trois grandes plumes du genre, Robert Silverberg, Roger Zelazny et James Blish, d’envisager le danger croissant encouru par l’humanité du fait du progrès technologique.
Dans sa collection Dyschroniques, le passager clandestin réédite en octobre la passionnante copie de James Blish : alors que la Terre est victime d’un important réchauffement climatique, et que la pollution a atteint un niveau incontrôlable, le Président Général de la Loge 802 de la Fraternité Internationale des Ingénieurs de l’Hygiène choisit une poignée d’hommes et de femmes pour partir sur la lune contribuer à une nouvelle ère humaine&hellip
Dans cette nouvelle visionnaire, Blish (1921-1975), auteur prolifique qualifié d’humaniste, montre les conséquences du réchauffement climatique, insiste sur l’incapacité de l’homme à tirer les leçons de ses erreurs et définit assez précisément, un quart de siècle avant qu’elle soit énoncée par Paul Crutzen, la notion d’anthropocène.
Frank Merriwell à la Maison Blanche, Ward Moore
Stevenson Woolsey, qui a lu deux fois Finnegans Wake entièrement et n’embrasse jamais les bébés, est un magnat politique amoureux d’Aurélie van Ten Bosch, le plus pur idéal de fille de savant fou. Or, la dernière invention de ce savant va révolutionner le combat politique, et changer la vie de Stevenson. Cette invention, c’est Frank Merriwell, robot de son état, qui va rafler toutes les élections jusqu’à la fonction suprême&hellip
Adepte de la satire, Ward Moore (1903-1978) offre une vision détonante de la politique en général – et du cirque politique américain en particulier. Le Docteur Folamour ne l’aurait certainement pas reniée ! La politique n’est qu’une vaste mise en scène délirante où les idées les plus folles et les discours en apparence les plus absurdes trouvent un écho démesuré lorsqu’ils sont débités avec la plus froide logique.
Et ce n’est pas la moindre des surprises de cette nouvelle, écrite en 1973, que de découvrir peu à peu la machine politique qu’est Frank Merriwell, fruit de la technologie la plus poussée, se faire le chantre de la lutte contre le progrès, l’apôtre d’un retour à la simplicité des relations humaines et l’avocat de sa propre inutilité politique !
Une saine lecture avant les élections de mi-mandat de novembre...
- Thomas Day
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Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
Ils sont bizarres ces résumés ; on dirait des brouillons.
TD
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- Prince-Marchand
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Re: Dyschroniques, nouvelle collection de SF
J'ai trop longtemps zappé cette collection. Ça va me couter cher ...
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