X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
En attendant mai 2014, X-Men: Days of Future Past s'offre un peu de marketing viral avec une série de fausses publicités pour les Sentinelles.
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Une première bande-annonce.
(Faudra qu'on m'explique la manie qu'il y a à plaquer la musique d'un film (ici, Inception) pour annoncer un autre film.)
(Faudra qu'on m'explique la manie qu'il y a à plaquer la musique d'un film (ici, Inception) pour annoncer un autre film.)
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Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Euh non.
C'est la FABULEUSE musique de The Thin Red Line de Hans Zimmer, Journey to the Line.
Reprise dans la fin de la saison 1 de Carnival (Sublime).
Y'a aussi un bout de Adagio de Sunshine.
Comme elle est géniale, tout le monde veut la réutiliser je pense.
C'est la FABULEUSE musique de The Thin Red Line de Hans Zimmer, Journey to the Line.
Reprise dans la fin de la saison 1 de Carnival (Sublime).
Y'a aussi un bout de Adagio de Sunshine.
Comme elle est géniale, tout le monde veut la réutiliser je pense.
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Bon, à partir de 1'15" dans la bande-annonce, ça ressemble quand même vachement à Time dans Inception. Dans tous les cas, on reste avec Hans Zimmer :-)
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Et celui-ci, personne ne l'a vu?
J'en reviens, divertissement plus qu'honnête (et pourtant, je ne m'attendais pas à du bon suite à plusieurs mauvaises critiques lues/vues/entendues). Ça passe très bien, même si je n'ai pas compris certains points (Charles-Xavier n'était pas censé avoir été explosé en petites particules dans le trois?)(ou alors on est déjà sur une deuxième timeline suite au précédent reboot?).
Bref, nettement meilleur que "Godzilla", mais moins d'adrénaline qu'avec le monstre.
J'en reviens, divertissement plus qu'honnête (et pourtant, je ne m'attendais pas à du bon suite à plusieurs mauvaises critiques lues/vues/entendues). Ça passe très bien, même si je n'ai pas compris certains points (Charles-Xavier n'était pas censé avoir été explosé en petites particules dans le trois?)(ou alors on est déjà sur une deuxième timeline suite au précédent reboot?).
Bref, nettement meilleur que "Godzilla", mais moins d'adrénaline qu'avec le monstre.
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Cachou a écrit :(Charles-Xavier n'était pas censé avoir été explosé en petites particules dans le trois?)(ou alors on est déjà sur une deuxième timeline suite au précédent reboot?).
Il y a une scène postgénérique dans X-Men 3 qui justifie un peu (de manière super vague) la "résurrection" de Xavier.
(Sinon, pas encore vu ce nouveau film X-Men mais j'ai bien hâte.)
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Cachou a écrit :Bref, nettement meilleur que "Godzilla", mais moins d'adrénaline qu'avec le monstre.
Je plussoie. Vraiment pas mal, malgré les quelques incohérences et soucis de liaison avec les films précédents (le site Toiles Héroïques tente de remettre par ici les choses à leur place).
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Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Ma critique sur Just A Word.
Re: X-Men: Days of Future Past, Bryan Singer (2014)
Pas pu le voir en salles--beaucoup de boulot et des problèmes de vue en ce moment--, je vais attendre le DVD.
Mais je remarque que les super-héros au cinéma ont repris une des tactiques des comic-books de l'époque où je les lisais: chaque nouveau créateur impose sa marque à tel ou tel personnage, pour le meilleur ou pour le pire, et quelques années plus tard, ça recommence.
Du coup, comme ce qui fait le principal intérêt du SH, c'est l'émerveillement devant la nouveauté, chaque lecteur/spectateur reste attaché à l'interprétation qui l'a marqué et repousse les précédentes et les suivantes.
A preuve, ce papier qui commence par dire que les X-Men furent les premiers super-héros au cinéma. Ah bon?
JDB
Mais je remarque que les super-héros au cinéma ont repris une des tactiques des comic-books de l'époque où je les lisais: chaque nouveau créateur impose sa marque à tel ou tel personnage, pour le meilleur ou pour le pire, et quelques années plus tard, ça recommence.
Du coup, comme ce qui fait le principal intérêt du SH, c'est l'émerveillement devant la nouveauté, chaque lecteur/spectateur reste attaché à l'interprétation qui l'a marqué et repousse les précédentes et les suivantes.
A preuve, ce papier qui commence par dire que les X-Men furent les premiers super-héros au cinéma. Ah bon?
JDB
"Passablement rincé", qu'il dit.
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