Bifrost n° 74 : Dossier Léo Henry (avril 2014)
- Olivier Girard
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Re: Bifrost n° 74 : Dossier Léo Henry (avril 2014)
Les critiques de livres du Bifrost 74 sont désormais en ligne, sur la page du numéro en question, dédié à Léo Henry, ou sur la page Critiques.
Re: Bifrost n° 74 : Dossier Léo Henry (avril 2014)
Je rattrape mon retard, ne m'en voulez pas, hein ?
Si Le Cas Julien-Declercq-Costa m'a laissé dubitatif, j'ai définitivement succombé au Major dans la perpendiculaire. Des nouvelles comme ça M. Henry, c'est quand vous voulez (d'ailleurs, je vais entamer d'ici peu Rouge Gueule de bois)
Je passe sur le texte d'Olivier Caruso. Je n'accroche définitivement pas à l'univers du bonhomme. Tant pis pour moi.
Pour finir, la nouvelle de Daryl Gregory est juste parfaite.
Si Le Cas Julien-Declercq-Costa m'a laissé dubitatif, j'ai définitivement succombé au Major dans la perpendiculaire. Des nouvelles comme ça M. Henry, c'est quand vous voulez (d'ailleurs, je vais entamer d'ici peu Rouge Gueule de bois)
Je passe sur le texte d'Olivier Caruso. Je n'accroche définitivement pas à l'univers du bonhomme. Tant pis pour moi.
Pour finir, la nouvelle de Daryl Gregory est juste parfaite.
Re: Bifrost n° 74 : Dossier Léo Henry (avril 2014)
Ubik a écrit :Je rattrape mon retard, ne m'en voulez pas, hein ?
Si Le Cas Julien-Declercq-Costa m'a laissé dubitatif, j'ai définitivement succombé au Major dans la perpendiculaire. Des nouvelles comme ça M. Henry, c'est quand vous voulez (d'ailleurs, je vais entamer d'ici peu Rouge Gueule de bois)
Je passe sur le texte d'Olivier Caruso. Je n'accroche définitivement pas à l'univers du bonhomme. Tant pis pour moi.
Pour finir, la nouvelle de Daryl Gregory est juste parfaite.
Même avis pour Léo Henry.
Pour Olivier Caruso, après Barbéri dans "Aleph-zéro" & Ellison dans "Pantin", j'avoue ne pas discerner d'univers propre à l'auteur.
A suivre. Avec l'espoir de lire des textes plus personnels.
Pour Daryl Gregory, chouette histoire ok, mais comme celle d'Ecken, c'est clairement pas de la sf.
Déçu par le manque d'ambition (pourtant y'avait de quoi faire).
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