Emanuelo a écrit :Erwannn a écrit :Et effectivement, le roman d'Egan s'interroge sur la notion de libre-arbitre.
Cette série a l'air vraiment très intéressante ! J'aime quand la SF en arrive subrepticement à la philosophie par les sciences exactes...
Je le lirais bien en Anglais, mais le côté hard, qui justement peut me plaire, risque aussi de me perdre... effet qui risque d'être décuplé en Anglais. Le Bélial' a déjà publié du Egan. Cette série est au menu ou pas ?
On en parlait ailleurs : la trilogie Orthogonal n'est pas ce qui est de plus ardu à lire chez Egan (Diaspora ou Incandescence sont autrement plus compliqués). Avec un niveau d'anglais correct, c'est tout à fait accessible. Comprendre les concepts, c'est une autre histoire, mais les trois romans sont bourrés de schémas explicatifs, ça aide.
Orthogonal au menu ? On aimerait bien, mais si c'est pour vendre 200 ex du premier volume, 100 du deuxième et 20 du dernier…
Emanuelo a écrit :Caliban a écrit :... la seule façon sera d'aller toucher le four, qui absorbera d'un coup l'excès de chaleur et te rendra une main intacte.
Non, à mon avis, pas la seule. Car si je ne le touche pas, non seulement la souffrance disparaît, mais en plus, elle n'a jamais existé. Et elle disparaîtra exactement au même moment.
Mais cela présuppose la liberté et l'intelligence.
Pas d'accord : ça va à l'encontre de la relation cause-conséquence.
La brûlure est la conséquence. Donc il faut créer la cause pour résoudre le truc. Sinon ça crée un paradoxe, et je ne suis pas sûr que les lois physiques le permettent.