Pour les inconsolables de la série Firefly (dont je suis depuis que je l'ai découverte cet automne), le comics officiel Serenity a le mérite d'exister.
Le premier hardcover, titré Those left behind, contient une histoire en trois épisodes. Celle-ci fait le lien entre la série et le film Serenity. Et c'est bien son seul intérêt : l'histoire met le capitaine Malcolm Reynolds en prise avec un revenant, tiré de l'épisode 1 de la série TV, lors d'une chasse au trésor sur les lieux d'une ancienne bataille. Sympathique, sans que cela ne casse trois pattes à un canard. Ça rappelle quelque peu certaines nouvelles d'Eric Brown.
Côté dessins, je suis toujours un peu gêné lorsque le dessinateur s'efforce de reproduire les visages des acteurs : ça me semble enlever toute spontanéité au trait. 'nfin bon.
La fiche de Serenity: Those left behind comic chez Dark Horse. (Pour autant que je sache, les comics Serenity sont inédits en français.)
En novembre 2014, un quatrième hardcover, Serenity: Leaves on the wind, est venu enrichir la série.
Serenity, Joss Whedon etc.
Re: Serenity, Joss Whedon etc.
Hop, on continue avec Serenity… Le deuxième hardcover, titré Better Days & other stories, contient quatre histoires.
La première et la plus longue, "Better Days", se situe chronologiquement quelque part entre la série TV et le comic Those left behind, et qualitativement dans la même lignée. Une histoire de contrebande et de bien mal acquis, avec quelques passages assez réjouissants (lorsque les personnages livrent leurs fantasmes s'ils devenaient du jour au lendemain extrêmement riches). Un bon moment de lecture, qui approfondit les personnages, et qui n'est pas plombé par la volonté de faire absolument le lien entre la série TV et le film.
Les deux histoires suivantes, "The Other Half" et "Downtime", sont très courtes (une petite dizaine de pages chaque), et m'ont paru d'un intérêt très limité — montrer que River Tam peut s'avérer super bad-ass… mais on le savait déjà.
"Float Out" est la première histoire à s'aventurer après les événements du film Serenity. Indécis quant au nom à donner à leur vaisseau spatial, trois individus partagent leurs souvenirs de Wash, le pilote du Serenity (le vaisseau). Un autre bon moment de lecture.
La fiche du comic chez Dark Horse.
La première et la plus longue, "Better Days", se situe chronologiquement quelque part entre la série TV et le comic Those left behind, et qualitativement dans la même lignée. Une histoire de contrebande et de bien mal acquis, avec quelques passages assez réjouissants (lorsque les personnages livrent leurs fantasmes s'ils devenaient du jour au lendemain extrêmement riches). Un bon moment de lecture, qui approfondit les personnages, et qui n'est pas plombé par la volonté de faire absolument le lien entre la série TV et le film.
Les deux histoires suivantes, "The Other Half" et "Downtime", sont très courtes (une petite dizaine de pages chaque), et m'ont paru d'un intérêt très limité — montrer que River Tam peut s'avérer super bad-ass… mais on le savait déjà.
"Float Out" est la première histoire à s'aventurer après les événements du film Serenity. Indécis quant au nom à donner à leur vaisseau spatial, trois individus partagent leurs souvenirs de Wash, le pilote du Serenity (le vaisseau). Un autre bon moment de lecture.
La fiche du comic chez Dark Horse.
Re: Serenity, Joss Whedon etc.
Suite de ma découverte du comics Serenity…
The Shepherd's Tale, comme son titre l'indique, se penche sur le personnage du pasteur Derrial Book, passager à bord du Serenity. Dans la série, l'individu est du genre mystérieux : il fait preuve d'une connaissance étonnante en matière d'armes à feux et de compétences de combat à mains nues, inattendues chez un homme d'église.
L'abandon précoce de la série TV a laissé bon nombre de fils d'intrigue inachevés. Le film a conclu (tristement) l'arc dédié à Derrial Book, et ce The Shepherd's Tale entreprend de raconter, à rebours, par flashbacks successifs, l'histoire du pasteur. Qui n'a pas toujours été pasteur. Et qui ne s'est pas toujours appelé Derrial Book. Et c'est plutôt agréable à suivre, avec un background étouffé. Et le dessin est plaisant, en ne s'obligeant pas à demeurer hyper fidèle aux traits des acteurs.
La fiche du comic book.
The Shepherd's Tale, comme son titre l'indique, se penche sur le personnage du pasteur Derrial Book, passager à bord du Serenity. Dans la série, l'individu est du genre mystérieux : il fait preuve d'une connaissance étonnante en matière d'armes à feux et de compétences de combat à mains nues, inattendues chez un homme d'église.
L'abandon précoce de la série TV a laissé bon nombre de fils d'intrigue inachevés. Le film a conclu (tristement) l'arc dédié à Derrial Book, et ce The Shepherd's Tale entreprend de raconter, à rebours, par flashbacks successifs, l'histoire du pasteur. Qui n'a pas toujours été pasteur. Et qui ne s'est pas toujours appelé Derrial Book. Et c'est plutôt agréable à suivre, avec un background étouffé. Et le dessin est plaisant, en ne s'obligeant pas à demeurer hyper fidèle aux traits des acteurs.
La fiche du comic book.
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